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LES COMMENTAIRES RECUS:


Ombrefeuille [09/11/20 15:56]
Merci à vous, Colibre et Hervé, pour vos passages sur l'aile espiègle du temps insaisissable, de ce temps qui s'en va vers son éternité et qui nous y conduit :)

Vos réflexions, dans leurs tonalités propres, donnent à mon texte une portée "philosophique" que je n'avais pas entrevue au départ,
et j'en suis honorée.


Colibri [09/11/20 10:37]
chère Ombrefeuille Si tu as un pied dans l'éternité le temps n'a pas de temps...tu peux le chercher, tu ne le trouveras pas, il n'existe plus...Plus tu vieillis plus le temps humain passe vite te rapprochant du temps qui n'existe plus...l'éternel présent de l'éternité .
Bon mois de novembre


Ancienmembre [07/11/20 09:54]
Entre l'espace et le temps, il y a le rythme de ton texte, alerte et sa belle allure, Colette

Je cherche toujours dans Proust une allusion au temps sous forme de gouttes d'eau, semblables et différentes, continuité et mouvement.

Et si donc la notion, on ne peut la saisir, tu nous l'as présentée sous forme de loisir.

Merci pour cette bien agréable lecture



Ombrefeuille [06/11/20 16:39]
Grand merci, Claude, Louis, Catherine, pour vos mots déposés ici dans l'effleurement du temps qui passe, qui court, qui file, qui nous échappe, qui nous emporte ... ;)


Oxalys [06/11/20 16:12]
Des vers courts et légers filant à la vitesse d'un ruisseau vers l'immensité de l'océan... comme les secondes font l'éternité.


Louis [05/11/20 10:56]
une délicate poésie
et merci pour la grammaire


Claudel [04/11/20 16:52]
Magnifique poésie aussi jolie et légère qu'une plume. +V


Ombrefeuille [04/11/20 16:37]
Merci à vous cinq pour vos passages sur l'aile fugace du
temps. Ce thème me fascine
depuis longtemps, et à notre
époque des réseaux sociaux et
de l'hyper-connexion, synonymes d'une injonction d'immédiateté précisément chronophage, c'est
une réflexion plus que jamais indispensable que celle du sens
du temps.

J'aime bien le décalé, Kerdrel. Il a dû vous falloir vache de temps pour compter les pages du roman de Proust ! Car je gage que vous n'avez pas triché, que vous n'avez pas regardé les petits numéros, là, en bas des pages ... LOL !

Lili, la question se pose en grammaire ("Telle la plume" ou "tel la plume"), et j'ai demandé à mon vieux complice, nommé Robert, d'éclairer ma lanterne. Réponse : les deux sont admis. Du coup, pour une question de perception perso des choses et aussi de décompte des pieds du vers, j'ai opté pour "tel". Qui plus est, l'élément sur lequel porte la comparaison, "un peu", situé au vers précédent, plaide
pour cette option (dans "un peu
de brume", "peu" est le nom et "brume" le complément du nom ... vieux souvenirs d'analyses grammaticales, dont je raffolais,
à l'école primaire et laïque)


Colline [04/11/20 10:49]
Le temps ô combien recherché...délicieuse poésie


Ancienmembre [04/11/20 10:43]
J'ai pris le temps.
Et ce ne fut pas un temps perdu.
Un côté surréaliste que j'aime beaucoup.



Kerdrel [04/11/20 08:43]
il y a plus d'un siècle Proust s'est mis a sa recherche en 4215 pages
Peine perdue,le temps a emporté l'auvent
texte charmant et léger


Lili [03/11/20 22:06]
Depuis la nuit des temps l'ombre joue à cacha-cache avec la lumière;
Bel exercice en distique qui rend le texte aérien.
Peut-être telle la plume serait plus approprié enfin c'que j'en dis !


Loren [03/11/20 20:51]
Titre très évocateur , parfait pour le sujet traité. J'affectionne particulièrement les deux vers suivants:
"Dans le silence d'un soupir
On croît l'étreindre, le saisir." Quelle belle définition du temps!