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LES COMMENTAIRES RECUS:


Claudel [18/11/20 23:52]
Merci Attention pour la visite et le commentaire.


Attention [18/11/20 15:51]
J’ai tourné bien le sablier…
je l’ai même secoué l’artiste
Je n’ai pas vu de compote, triste…
et vite j’ai couru et tout acheté !
Protiste avait bien protesté
De son silence optimiste
Et tous les yeux dans la « tel est »
Restèrent fixé, tel l’hypnotiste
J’ai bien tourné bien le sablier…
O, plus personne ici... n'existe ?!



« Mais le temps est lourd en temps de mutinerie,
Il provoque l’ennui et la morosité.
Sa forteresse et son château d’épicerie
Lui procurent la paix et la sécurité,

Le sablier de l’être humain
Coule tendrement
Au rythme du
Temps
| ! |
| ! |
| ! |
Mais
Parfois, il
Se déverse trop
Vite, dangereusement

Il remplit ses placards, sa cave et sa glacière
Attendant, glorieux, les malheurs quotidiens.
Au rythme du temps quand le pendule accélère,
L’homme s’énerve et court pour acheter des biens… »

.





Claudel [16/11/20 23:04]
Merci Ombrefeuille


Ombrefeuille [16/11/20 17:28]
Un poème-sablier qui nous invite à considérer notre commune finitude et la vacuité de nos illusions.

Un regard pertinent que le tien, servi par une plume inspirée.


Claudel [15/11/20 21:06]
Merci Hicvelibi, Kerdrel, Boblawap, Louis et Cinquieme Vallee pour vos commentaires très appréciés et toujours aussi intéressants.


CinquiemeVallee [15/11/20 20:34]
vite renversons le sablier !


Louis [15/11/20 19:32]
bien vu et en une jolie forme


Boblawap [15/11/20 16:56]
Si le sablier coule inexorablement, rien ne nous empêche le prendre le temps ... de goûter le temps. Comme disait Pascal, tout le malheur de l'homme vient qu'il ne sait pas rester seul dans une pièce.


Kerdrel [15/11/20 14:56]
poème visuellement imagé
complote ou qu'on pelote de laine
on caresse souvent un vieux rêve


Ancienmembre [15/11/20 13:48]
Si tu as comploté avec les mots pour que ta poésie survive au temps, c'est réussi !


Claudel [15/11/20 13:40]
Merci Lastours et Loren pour vos gentils commentaires.
Merci Arcane pour ce joli poème sur le temps.


Arcane [15/11/20 09:58]
Qui eût cru que notre cher Claudel
En quelques traits finement tracés
Nous dota d'une écriture hirondelle
En forme de rassurant sablier ....

Je ne crois pas au temps qui passe
Par et pour l'humain inventé
Ô combien dans leurs carcasses,
Du temps qui passe se sont moqué !

Fort souvent l'on trouve
Creusant des trous à fleur de terre
Des ossements qui prouvent
Que le temps passé nous indiffère !



Loren [15/11/20 09:31]
J'aime beaucoup les images de ce poème. Elles sont si vraies! J'affectionne particulièrement le sablier. Merci Claudel pour ce poème qui dépeint avec force et dérision les comportements humains.


Lastours [15/11/20 09:31]
Un constat lucide et réaliste avec une forme d'écriture très originale que j'ai particulièrement appréciée