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LES COMMENTAIRES RECUS:


Ancienmembre [14/04/19 12:00]
je ne sais d'où je viens
jamais su de mes aïeux
possibilité chevalier de Malte
hébergé dans le grenier où je naquis


Ancienmembre [14/04/19 11:55]
regarde en arrière qui parle de teutonne ! ça alors !
le temps n'adoucit rien
on s'habitue c'est tout
la poésie nous aide


Oxalys [14/04/19 11:31]
Merci Violette..
On dit que le temps adoucit la douleur. Mais les cicatrices font oujours mal. Oui, je sais...
Amicalement


Ancienmembre [13/04/19 16:10]

je ne vois qu'une mère orpheline
et mes yeux
pleurent


Oxalys [11/06/17 19:37]
Merci Banniange - très touchée par ce beau commentaire de la part d'un connaisseur en poésie et peinture, deux formes d'expression qui se marient très souvent à la perfection.


Banniange [11/06/17 14:02]
Très beau Pantoum Oxalys et quelle superbe illustration qui vient souligner toute l'émotion de ton poème, bravo!


Oxalys [10/06/17 22:55]
Cordialement merci, Murielle


Llumierelive [10/06/17 20:38]
simplement...boulversant


Oxalys [05/06/17 09:57]
J'avais bien compris, Licorne, que tes coups de bélier sont en fait des coups de coeur de chroniqueur fantaisiste

PS : Tchin, prost et salute, à notre santé !


Ancienmembre [05/06/17 09:40]
Dans son langage pauvre mais imagé,
il a voulu dire :
Que d'émotion et de sentiments
dans ce poème!
Mais c'eût été banal.

P.S. Cocktail? Plutôt minestrone!


Oxalys [05/06/17 09:24]
Il est des douleurs que le temps adoucit au point qu'il devient bonheur de les
sublimer en poésie..

Femmage à Erato, notre maîtresse- guérisseuse

Merci Saintes



Oxalys [04/06/17 22:21]
Teutonne ascendant Gaulois avec quelques gènes helvètes, ottomans et lusitaniens.
Et toi , Salvatore, de quel cocktail es-tu fait ?


Saintes [04/06/17 18:43]
Il est des douleurs que rien n'égale et je m'en voudrais d'oser y attenter.

Incantations fraternelles.

Que ne fus-je, oh ! temps de déraison
Cet être fluide empreint de ta sagesse
Mais savant fou noyé dans mon ivresse,
Car oui vois-tu, chaque homme a ses saisons.

Ayant sur nous justice des faiblesses
Quand en ce siècle enfantant la raison,
Fautive angoisse indicible poison,
Sur notre âme aviez le droit d'aînesse.

Lors vînt le temps de nouvelle oraison,
Sur ma logique mît main enchanteresse.
La poésie fût alors la caresse
Qui à mon cœur éleva un blason.

Et lors d'un chant émit à votre adresse
Fis un serment, éclair en ma prison
Qui illumine la fugace liaison.
Au ciel ainsi confis douce tendresse.


Ancienmembre [04/06/17 17:24]
Pas si froide teutonne que ça!


Oxalys [03/06/17 22:40]
Merci Varech d'avoir répondu à l'invitation.
Amicalement


Oxalys [03/06/17 22:39]
Oui Didier, on a beau éviter d'y penser, on sait la fin inéluctable et on fait bien -sans s'obnubiler- de s'y préparer..

Si on écrivait quelque chose là-dessus, un de ces jours ?
Biz de Cat


Oxalys [03/06/17 22:33]
Oui, comme tu le dis si bien Eolia : Grave et doux... Deux sentiments apparemment contraires que le pantoum permet de lier du début à la fin.
Amicalement


Oxalys [03/06/17 22:28]
Merci Marcek
Une douleur qui s'est muée en doux souvenir avec le temps. Le pantoum pour l'exprimer avec ses deux idées contraires qui se complètent, finalement.


Oxalys [03/06/17 22:24]
Beau commentaire dont je suis fière, Gérard. Il confirme positivement mon intention d'assortir, autant que possible, le fond et la forme.
Amicalement


Varech [03/06/17 14:47]
L'écrit et l'émotion. Merci de nous avoir invités, un instant.


Dynamot [03/06/17 14:30]
Quand j'étais à la maternelle je me croyais vivant...mais quand je te lis je me sens mortel ! La vie , le sable et ses ornements qui nous bluffe ...
Je suis prêt , oui prêt. Quand la mort sera las !
biz biz etc ..


Oxalys [03/06/17 08:46]
Merci Claude.


Eolia [02/06/17 23:51]
Grave et doux profond comme la douleur d'un puits ...c'est un bien beau poème Oxalys Merci de nous le faire partager.


Oxalys [02/06/17 23:11]
Merci Leon
Ton avis compte beaucoup, court mais prégnant !



Marcek [02/06/17 16:31]
Un sentiment d'immense tristesse à la lecture de cette douleur maternelle.
Bien sûr, le style est parfait .
Merci Oxalys.


Louis Vibauver [02/06/17 15:23]
Une belle maîtrise du pantoum dont les vers répétitifs évoquent bien le ressassement des souvenirs et le cheminement lent et pesant de la pensée toute alourdie de tristesse.
A Marseille, on dit que l'on est dans la panade.
Bien cordialement
G


Claudel [02/06/17 14:47]
Joliment écrit et prenant; merci.


Leonard [02/06/17 14:41]
Grave et profond , très émouvant !


Oxalys [02/06/17 13:59]
Un style vu, admiré, essayé, adopté il y aura bientôt.... un certain nombre d'années

Maintes fois mis en pratique depuis, toujours avec la même satisfaction quand la boucle est bien bouclée..

Merci Antoine de m'avoir appris comment..


Tonindulot [02/06/17 10:07]
L'occasion n'est pas ratée car le style est désormais bien maîtrisé..

Sujet douloureux évoquée avec maestria...

Bravo Catherine
Tonin


Oxalys [02/06/17 09:23]
Pour toi qui veux souvent savoir le genre du poème : celui-ci est un pantoum.
Un style que je me réserve pour les "grandes occasions"
merci Aurore


Oxalys [02/06/17 09:19]
A la lecture du thème "marais"
L'idée m'est venue, instantanée,
Du vécu, comme toujours très imagé,
Le tableau l'illustrant bien après

Merci Lucienne


Aurorefloreale [02/06/17 09:10]
Très prenante poésie, merci
Aurorefloreale


Oxalys [02/06/17 09:09]
Merci Violette
Ton commentaire me fait très plaisir


Arcane [02/06/17 09:04]
Je reprends les mots de Violette inscrits si justement ! Silence admiratif en contemplation devant l'illustration !
Beau partage, merci


Ancienmembre [02/06/17 08:48]
magnifiquement bouleversant