Vous devez ĂȘtre INSCRIT et CONNECTE pour laisser un commentaire

LES COMMENTAIRES RECUS:


Jim [28/05/21 14:03]
C'est le printemps, Ombrefeuille, ouvrons grand les fenêtres du donjon que soient aérées les timides bougies de l'esprit... sans les souffler!


Ombrefeuille [26/05/21 18:25]
Quand le courant d'air s'appelle Inspiration, il est bienfaisant qu'il ébouriffe les vers en attente, cela donne des poèmes au souffle immense.

Et Excalibur trancha, ès qualités !
Bon ... OK, je sors :)


Jim [14/04/21 13:26]
Voilà qui donne du chœur au ventre ! Merci Marcek.


Marcek [12/04/21 19:20]
Plaisir de retrouver tes mots où chantent toujours en harmonie, la culture et l'esprit ! Pas tant de courants d'air que cela dans ta tete bien pleine !


Jim [11/04/21 12:03]
Ces qqs vers ont été écrits, Lastours, en pensant à l'épée que fiche Arthur entre Lancelot et Guenièvre endormis dans les bois, scène dans laquelle Merlin s'écrie: "Il a séparé ce qui devait ne pas l'être", qui sonne en écho à cette séparation qu'opère Yaweh d'Adam pour modeler Eve : l'unité est brisée dès lors en deux sexes qui n'auront de cesse de se reconstituer. Par ailleurs, Aragon déclara que cette scène était sans doute l'invention la plus géniale de toute la littérature, ce à quoi j'ajouterai : sans doute!


Lastours [11/04/21 09:34]
Non seulement tes beaux vers ne sont pas partis mais ils sont bien là avec la bénédiction d'Excalibur et c'est tant mieux pour nous.