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LES COMMENTAIRES RECUS:


Claudel [07/05/21 15:30]
Merci Saintes pour la visite.


Saintes [06/05/21 14:30]
Je partage le commentaire d'Ombrefeuille quand de Bonaparte à Napoléon il y a un pas. Il faut tout assumer et faire le tri.


Claudel [06/05/21 14:25]
Merci poètes pour vos commentaires.


Louis [05/05/21 16:52]
bien vu et bien dit


Kerdrel [05/05/21 13:10]
il y a une autre citation de lui qui m'a toujours amusée, concernant une actrice fort célèbre de l'époque et qui eut ses faveurs fut un temps... Mlle Georges de son vrai nom : Marguerite-Joséphine Weimer après avoir été la maitresse de Lucien Bonaparte, elle devient celle de son frère, le Premier Consul Napoléon Bonaparte, qui dira d’elle "cette femme a un port de reine, dommage qu'elle ait aussi des pieds de roi"


Loren [05/05/21 11:15]
J'admire votre prouesse, Claudel comme toujours. Insérer des citations permet à chacun de se faire son opinion et de mieux cerner le personnage. Bravo! +V


Ombrefeuille [05/05/21 09:56]
Je salue ta plume qui rappelle les faits mais ne cherche ni à célébrer, ni à conspuer. Qualité appréciable à notre époque où les "déboulonneurs" mènent grand tapage.

Tu as eu ce génie d'appuyer tes mots de ceux de Napoléon, et cet éclairage nous invite à toujours chercher le sens des choses, à nuancer le regard.

Donc commémorer, oui, mille fois oui, afin que la connaissance demeure, car le savoir est un rempart vital contre toutes les formes de totalitarismes, lesquels, comme on le voit de plus en plus, ne sont pas forcément le fait d'Etats.


Kerdrel [05/05/21 08:33]
A tout le moins, il aura dit une chose intelligente « Si le monde était une nation, Istanbul en serait la capitale »
mais au général vendémiaire qui tira au canon sur l'église St Roch je ne pardonne pas non plus l'assassinat du duc d'Enghien


Socrate [05/05/21 01:32]
Le plus tragique dans l'affaire, c'est que la Convention nationale avait réussi à se débarrasser d'un autre militaire qui menaçait le pouvoir civile fin 92, à savoir La Fayette. Mais la situation est bien différente à la veille du 18 brumaire an VIII de la République. Les modérés comme Sieyès se sentaient menacés par un retour des jacobins, proches du peuple et donc de la 'Terreur' et ils étaient prêts à tout pour mettre un terme à ce côté incontrôlable de la Révolution. Il y avait aussi bien évidemment la guerre et la crise économique.
L'histoire est écrite à présent, plus question de la refaire. Personne ne conteste le génie stratégique du petit caporal, le Pont d'Arcole, les Pyramides, Marengo, Austerlitz, Eylau, Friedland, Wagram, Leipzig, que de noms célèbres ! De là à faire de la guerre permanente et de la centralisation des pouvoirs un modèle de société... Non.
Le bon historien ne juge jamais, il tente de comprendre l'enchaînement des évènements et leurs implications. Libre à chacun d'en faire de même.