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LES COMMENTAIRES RECUS:
Cardaline [24/05/21 12:22] Merci Ombrefeuille de partager mon sentiment à leur égard car, pour les avoir fréquenter épisodiquement, ils sont très au-dessus de la réputation que l'on fait d'eux. |
Cardaline [24/05/21 10:47] Merci Loren. J'essaye de faire plaisir à mes éventuels lecteurs. C'est une motivation suffisante. |
Loren [23/05/21 22:23] De jolis vers, Cardaline. Bravo! |
Ombrefeuille [23/05/21 17:04] Ce "soir qui tombe dans l'oubli" résume à lui seul le destin de ces gens là et ailleurs, déjà partis au loin aussitôt qu'arrivés quelque part, nulle part et partout ... De la caravane au mobile-home, on reste comme en attente de cet accord de violon qui traduit si bien ce qui se cache dans l'âme des Gens du Voyage. |
Cardaline [23/05/21 15:56] Merci Louis. A force de chercher, on trouve n'est-ce-pas ? Et cela vient rarement du ciel. |
Louis [23/05/21 13:50] bravo , beau poème "Sous le reflet du croissant blême A jaillit, le temps d’un éclair, Une haquenée de Bohême Corps blanc sous la clarté lunaire" |
Cardaline [23/05/21 10:43] Merci Wawa. Et merci pour le rapprochement avec Apollinaire dont certains poèmes sont si inspirés qu'ils sont inimitables. |
Cardaline [23/05/21 10:35] Merci Lastours. La réalité était quelque peu différente mais elle est à l'origine de ce poème ; l'impression de cette soirée passée près d'un camp tzigane et à deux pas de mes chevaux s'est gravée dans ma mémoire. |
Cardaline [23/05/21 10:26] Merci Fregat, vos compliments sont aussi beaux qu'un poème. |
Fregat [23/05/21 09:54] Ambiance, ambiance... Un pan de la culture gitane nous est ici soulevé, très légèrement, comme pour nous en laisser voir la beauté comme le mystère. |
Lastours [23/05/21 09:45] Le rêve et la réalité se rejoignent dans tes vers dans un tableau envoutant. J'ai pensé aussi à la chanson de Jean Ferrat: Les nomades. |
Wawa [23/05/21 09:35] Une belle atmosphère rendue par ce poème. Une jolie description très réussie, tout en légèreté. Un texte qui m'a fait revenir en mémoire "Les saltimbanques" de G Apollinaire. |