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LES COMMENTAIRES RECUS:


Ombrefeuille [10/03/18 16:45]
Merci mille fois, Léonard. Je suis allée cette semaine me recueillir en silence là où ce gars est mort ... Il y avait une gerbe de fleurs, une petite plante en pot, une bougie, quelques peluches ... et la ville autour. Je tenais à faire ce "pèlerinage", même si cela ne change rien ...



Leonard [05/03/18 16:22]
Oui insurrection contre le cynisme "fataliste"...

Bon diront-ils, les poètes sont les poètes, mais soyons sérieux, nous autres, "investisseurs qui faisons tourner la terre dans le bon sens" etc...

Il serait si raisonnable , enfin, que tous , soyons "déraisonnablement solidaires" !

Merci pour ce poème vif ! d'écorchée vive !


Ombrefeuille [01/03/18 17:55]
Merci à tous de cette communion de cœur. Puissions-nous également ne pas oublier, à la belle saison, que si on n'entre pas en guerre contre la misère et l'égoïsme sans tarder, ils se ligueront à nouveau pour faire d'autres victimes, dès les frimas revenus. Puissions-nous réentendre et traduire en actes l'appel déjà ancien de l'Abbé Pierre à une "insurrection de la bonté" !


Ancienmembre [01/03/18 16:04]
Ce poème me serre le coeur. Tout y est dit avec pudeur et retenue, mais la vérité de la misère est criante! Et dire qu'il y encore des personnes qui meurent de froid dans les rues quand d'autres ont bien plus qu'il ne faut pour vivre!


Muse31 [01/03/18 11:07]
Poème très touchant qui malheureusement est d'actualité...Face à cette misère que faire ?
Merci de garder les yeux bien ouverts sur notre monde, beaucoup de personnes ferment les yeux pour ne rien voir de cette honte !!!


Oxalys [01/03/18 10:50]
Terrible !
La honte, surtout quand on sait le nombre d'appartements laissés vacants par manque de locataires assez crédibles pour engraisser la fortune de leurs propriétaires.


Lastours [01/03/18 07:27]
Un évènement qui, hélas, revient chaque année; le XXI me siècle n'a pas réglé tous les problèmes malgré ses ordinateurs et autres gadgets.


Aurorefloreale [28/02/18 18:46]
On en attrape froid

On en tremble d'effroi,
Ainsi de la vie la loi,
Un jour plus aucun aloi,
Le moire de la ville,
Le vent acerbe
Engouffre ses vêtements
L'inconnu a trouvé sommeil
Plus de palpitations à son réveil,
Et pourtant la croix rouge veille,
Certains préfèrent mourir ivre de liberté,
La vie , le destin n'ayant aucune grâce accordé,
Ils reposent inconnus dans le tombeau
des laissés pour compte,
On grelotte en un dernier regard de compassion,
N'ayant pas vécu cette ultime passion,
Qui les laissa transis de froid,
Pour nous passants , il est trop tard,
Il nous fallait agir sans retard!!!



Engouffre le mort viv