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LES COMMENTAIRES RECUS:


Kerdrel [24/08/21 18:16]
merci de votre lecture Juillet


Juillet [24/08/21 16:54]
Les femmes sont la faiblesse des hommes.
Vous l'avez démontré par votre texte et l'illustration est parfaite
Il s'est fait dupé par sa perverse innocence


Kerdrel [24/08/21 15:04]
Merci Loren, c'est un poème un peu léger sans prise de tête pour ce qui est du tableau il existe deux versions du Caravage, plus tard Bartolomeo Manfredi en fit également une, de beaucoup moins belle facture


Kerdrel [24/08/21 15:01]
je ne connaissais pas l'origine du mot merci de ton érudition Jim


Kerdrel [24/08/21 15:00]
Bonjour Pauline, ce que peu de gens savent et cela ne fut révélé que lors de la restauration du tableau, c'est qu'elle est en train de lui subtiliser son anneau en lui lisant les lignes de la main,

merci de ta lecture,


Loren [24/08/21 13:45]
De jolis vers, Kerdrel ! Le ton de ce poème est très plaisant. Belle illustration, également!


Jim [24/08/21 13:15]
Hé ! Hé ! Je comprends tout maintenant que je lis ton poème !...
Boulingrin : il existe à Toulouse un jardin circulaire portant ce nom autrement nommé le Grand Rond. Au carrefour d'importantes voies de circulation, les voitures girent autour. Lorsque la ville s'agrandit au-delà des anciennes murailles furent tracées ces voies et développés des jardins dont celui-ci. Deux passerelles joignent ce Boulingrin à deux jardins, celui des Plantes et le Royal. Ils étaient des lieux de promenades, et le demeurent. Pourquoi ce nom si peu occitan ? Parmi les jeux pratiqués par les promeneurs était en monde, influence anglaise, celui consistant à pousser avec un maillet une petite boule sur un gazon vert... En anglais, c'était bowl in green, qui sous la râpe des locaux devint Boulingrin.


Cardaline [24/08/21 10:55]
On ne sait ce qu'il adviendra de ce personnage au chapeau emplumé, le préambule est charmant et bien dans l'esprit de l'époque.