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LES COMMENTAIRES RECUS:


Cardaline [19/10/21 13:46]
J'ai connu un poète (un félibre, poète en langue provençale) qui pratiquait la chasse-promenade mais c'est bien le seul au milieu de tout un tas d'excités. Je suis cependant très ouverte à une défense convaincante, et pourquoi pas sous forme poètique ?


Wawa [18/10/21 20:02]
Cardaline, c'est un texte fort et très bien écrit. Je comprends très bien l'émotion qui y transparaît, toutefois, je ne m'associerai pas aux propos anti-chasse qui l'accompagnent.
Mais, comme ce n'est pas le lieu pour un débat, je vais plutôt aller sur le forum pour faire entendre une autre voix (parole à la défense !) et ouvrir éventuellement une discussion...


CinquiemeVallee [18/10/21 13:52]
Oui ! la "tradition" a bon dos, mais la réalité "modernisée" reste cette cruauté gratuite ...Bravo à cette poésie d'avoir bien visé la cible !


Chedu [18/10/21 07:00]
Un texte poétique brillant et très réaliste qui démontre une fois de plus les absurdités de notre société ... Aux larmes citoyens !
Bravo Cardaline


Philippeb [17/10/21 21:55]
Hélas, les chasseurs sont bien souvent lâches...


Cardaline [17/10/21 18:12]
J'essaie de m'améliorer de poème en poème sous l'oeil impitoyable non pas de Victor Hugo mais de Baudelaire ! J'espère être à la hauteur au moins une fois avant de mourir.


Ombrefeuille [17/10/21 18:03]
Outre que je rejoins le commentaire très pertinent de notre ami Fregat, je salue la qualité de l'écriture de ce poème où tout concourt à rendre présents les sons, les mouvements et aussi la peur qui enserre inexorablement ce cerf condamné d'avance.

Je n''hésite pas à rapprocher ici votre plume de celle de Victor Hugo, par exemple, en raison de la puissance d'évocation qu'elle a su trouver dans le tragique de l'instant décrit. La nature entière semble éprouver la terreur du cerf, et vous avez su rendre cet effet avec un talent tout particulier.


Fregat [16/10/21 08:47]
Merci pour ce plaidoyer anti-chasse... La chasse ne devrait être autorisée qu'au cas où une espèce viendrait à être trop nombreuse; d’ailleurs ce fait est souvent lui-même du à l'homme car les prédateurs comme les loups, renards, les martres, les fouines ont été décimés ce qui a rompu l'équilibre de la faune qui s'est toujours naturellement équilibré depuis la nuit des temps.


Nawalou [15/10/21 22:44]
beau poéme réaliste,description réussie;bonne continuation.


Kerdrel [15/10/21 22:33]
La grande différence entre l'animal et l'homme c'est que ce dernier tue pour le plaisir et non pour se nourrir, je hais la chasse et les chasseurs ce n'est pas un sport souvent c'est du gibier d'élevage qui est jeté en pâture :(


Juillet [15/10/21 18:48]
C'est tellement bien décrit que je voyais la scène et j'en ai pleuré
Oui, un déloyale combat. Mais il n'est pas mort comme un lâche....!
Merci Cardaline de rappeler la cruauté de l'humain qui ne pense qu'à son ventre
+V