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LES COMMENTAIRES RECUS:


Ninon [21/10/18 23:42]
Bonsoir ,
Désolée, je pensais être repassée par chez moi, mais non, rire;)

@ Oxalys,
Merci pour le surplus d'information ajouté. Nous aurions gagné du temps si tu avais commencé par ça. Et non, je ne pique pas la mouche, pour si peu. Je tentais de comprendre.

Douce nuit ;)

@ Marie Chevalier

Merci pour votre visite et appréciation. Vous avez raison, pour ce qui est d'ouvrir les yeux pour voir la nature. Je la regarde tous les jours, j'ai la montagne en face de ma terrasse, et dès qu'il fait un tantinet beau. Et dieu sait qu'il fait souvent beau chez moi, ben, je vais à sa rencontre.

Douce nuit ;)

@ Lejassyote,

Merci de votre visite, oui ce sont des strophes saphiques. Des hendécasyllabe

Douce nuit ;)


Lejassyote [10/10/18 09:45]
Superbe texte en mètres impairs!


Isabelle Chevalier [29/09/18 07:59]
Il suffit souvent d'ouvrir les yeux pour être ébloui(e) par les beautés de la nature.
Un bonheur simple que ta belle plume a partagé avec nous.
Bravo et merci !


Oxalys [24/09/18 15:14]
Ne prends pas la mouche Ninon ! Si ni l'audition ni la diction ne buttent sur le phonème "un l'heur", par contre l'oeil dilettante, habitué à un autre aspect scriptural a légèrement cillé. Comme l'oeil et l'oreille, chez moi du moins, travaillent toujours de paire, j'ai bien cru être victime d'un leurre sans gravité, cela n'enlève rien à la beauté du texte.
Amicalement


Ninon [24/09/18 13:44]
@ Merci Banniange, j'aime beaucoup ce tableau

Belle journée

@ AuroreFloreale,
Oui le premier quatrain pourrait exprimer à lu seul l'^état de bien-être. Le reste n'est que fioritures, rire;))
Merci et belle journée ;)

@ Marcek,
C'est ça, c'est à son contact que l'on se sent vrai ! Je ne pourrais pas vivre, loin de la montagne, et de la mer aussi.
Merci et belle journée ;)

@ Oxalys,
Mais non tu n’es pas victime d’un leurre. Quoique dans ce contexte c’eut été préférable. Et oui, nous somme dans le domaine de la poésie, dont le principe même est de permettre au lecteur de se leurrer, pour entrer plus facilement dans le rêve, l’imaginaire, voire s’insinuer par une porte dérobée des sens pour s’imprégner du ressenti, ou vécu de l’autre. Du moins dans ce qu’il cherche à évoquer pour susciter l’émotion.

L’irritation que tu évoques, si irritation tu as ressenti, me surprend, pour deux raisons. La première, c’est que tu n’approfondis pas. J’aurai bien aimé savoir, en quoi cela a gêné ta lecture (qui visiblement, n’a pas été altérée pour autant). Un double article, soit ! Mais où est le blême, si ces derniers servent de support à la métaphore
La deuxième raison qui me surprend, c’est qu’il semblerait, que tu te sois arrêté sur un détail, détail qui poétiquement parlant, n’est pas admissible, sachant que le poète, ne lésine pas à user de la licence poétique, lorsqu’il s’agit, pour lui de donner corps et âme à son texte pour qu’il soit compréhensible au lecteur, mais aussi et surtout, pour qu’il soit en tout point fidèle à son propre ressenti, à lui.
J’aurai compris, l’irritation face à des fautes d’orthographes, de grammaire. Mais là, sur un double article, cela me fait titiller. Mais je vais plus ou moins l’en justifier, puisqu’il le faut.
J’aurai pu dire : Un Heur à bercer sans que cela gêne à la prosodie. Oui, évidemment, puisque je n’avais aucun hiatus à camoufler, ni « e » muet à combler. J’aurai pu, mais n’ai pas voulu. J’ai trouvé qu’un « Heur à bercer », était trop lourd à porter, surtout lorsqu’on s’élève vers les cimes. J’ai donc opté pour le « L’ » comme signe diacritique pour rendre « Heur » plus aérien. Donc, oui c’est parfaitement volontaire ces deux articles défini et indéfini (Un et L’) , auquel j’ai eu recours pour les associer au déterminant « Heur »
Pour ma part, ce qui m’irrite souvent, mais je préfère rien n’en dire, car après tout, je ne suis pas là pour ça, c’est quand je lis des poèmes dits classiques, qui ne respectent en rien, les règles et la prosodie, qui devraient la démarquer. Mais bon, tant que le texte est bon, je fais fi du reste. Rire ;)

Merci et belle journée ;)



Oxalys [24/09/18 09:43]
Belle leçon d'humilité devant la grandeur de mère-nature
Accord parfait entre les mots, la musique et le tableau.
Une seule petite irritation au vers 4
un l'heur (double article ?)

Peut-être suis-je victime d'un leurre, après tout ;))


Marcek [23/09/18 09:55]
Nos pieds restent enracinés, mais par bonheur, la beauté de la nature permet à l'ame de s'envoler !


Aurorefloreale [23/09/18 08:45]
Splendeur , mon préféré , le premier quatrain tellement prometteur du reste!


Ninon [22/09/18 21:33]
Oui comme vous dites Ombrefeuille ;)

Merci de votre visite ;))


Ombrefeuille [22/09/18 17:37]
Les beautés de la Nature confinent à l'extase et au bonheur


Ninon [22/09/18 14:06]
@ Merci Kigo pour votre lecture et appréciation qui me font plaisir ;)

@ Mijo, la nature il n'y a que ça de vrai
Merci et bise ;)

@ Banniange, oui avec plaisir pour l'illustration.
Merci d'avance et pour votre lecture ;)


Banniange [22/09/18 13:48]
Une belle méditation loin de la foule déchaînée...Dites-moi si je peux y ajouter une illustation.


Mijo [22/09/18 12:59]
Quel plaisir de s'enivrer aux baumes enchanteurs ! bisou Ninon !


Ancienmembre [22/09/18 12:59]
Quel régal..
La voix, et aussi cette musique si bien accordée au texte !
Merci Ninon.