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Jim [10/12/21 17:43] Heu... Seditio Amor, c'est bien "heur" au pluriel, je ne vois pas de coquille ici. Heur signifiait "présage" puis plutôt "moment", celui auquel advient un événement qui s'avérera bon (bonheur) ou mauvais (malheur). Cela dit, ça m'arrive aussi d'en laisser trainer, ce qui accentue ma calvitie ! Merci de ton avis et de ta critique.

Seditio Amor [10/12/21 17:28] Un artiste est fou Un artiste est flou Il écrit avec ses goûts Un amour qu'il renoue. Jim, moi aussi j'ai découvert une coquille :) (Fatigués de ces heurs) A bientôt. Seditio

Jim [13/11/21 21:32] J'ai, Matriochka, perçu ce drôle d'oiseau comme la tête fichée sur le haut du bâton de puissance égyptien, nommé Ouas. Il n'est pas très content de l'usage que l'on fait de lui. Question : est-il colérique ?

Matriochka [13/11/21 17:49] Des images sublimement mélancoliques se révèlent à la lecture de ce poème, où les pensées semblent divaguer, telles un oiseau marin, sur la brume puis la mer à l'heure où le soleil se noie à l'horizon. Le dessin de ce fou de Bassan fixant les lecteurs de son regard est très réussi.

Jim [12/11/21 17:12] Chers tous, grand merci de vos lectures et avis. Vers la fin de ce petit texte, en l'écrivant, je songeais à cet autre drôle d'oiseau : l'albatros ! C'est un peu son avers. En résumé, pas fol, l'oiseau !

Peirelosastre [11/11/21 21:51] Superbe sonnet où sonnent le désespoir et la tristesse...

Fregat [11/11/21 09:25] Un magnifique texte que j'ai lu plusieurs fois... A travers les yeux et le vol de ce bassan (qui n'en demandait sûrement pas tant), il y a, malgré toute la beauté de ce qui l'environne, la "surface" comme dit Kerdel, toute la profonde interrogation humaine sur l'origine, la nature et la finalité de la vie.

Pierrelamy [11/11/21 06:15] Le vers 13 lève ce voile sur l'identité de ce fou. Les rimes des 4 derniers vers sont léonine. Du beau boulot.

Mademoiselle [10/11/21 20:04] Que de réflexions dans cet écrit .. esprit troublé par le monde .. un beau texte à lire ..

Kerdrel [10/11/21 20:00] doit-on s'arrêter à la superficielle surface ou plonger dans l'abîme inconnu pour découvrir le fond, seul le fou ne se pose pas la question