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LES COMMENTAIRES RECUS:


Ombrefeuille [08/06/20 17:15]
Merci, Philippe, d'avoir plongé dans les "profondeurs" de ma CV pour lire ce texte et partager ici des mots qui me touchent.

Enfant j'étais rêveuse, et un simple ballon ou le chant du vent suffisait à m'emporter dans un monde que je crois bien ne pas avoir quitté, car rêveuse et romanesque suis restée. J'adore raconter des histoires pleines d'évasion, les raconter aux autres et à moi aussi :)


Philippeb [06/06/20 22:43]
Colette, ce sont les poèmes que j'aime, les instants fugaces que l'on décrit, le temps suspendu, l'enfant qui s'en va et la place vide, le vent et la nuit, éternels, qui continueront à s'épouser quand depuis longtemps tous les enfants du monde auront cessé de jouer...Bien à vous, Philippe


Ombrefeuille [14/05/19 18:03]
Merci, Pascal. Je crois bien que je suis restée un peu comme ce gamin avec son ballon : Un rien m'amuse et suscite pour moi tout un monde intérieur :)


Piwi87 [14/05/19 00:15]
Beau brin de nostalgie !

Merci Ombrefeuille pour ce bel écrit.

Amitiés
Pascal


Ombrefeuille [21/10/18 16:48]
Merci, Ninon, pour ce partage. La poésie a ce pouvoir d'enjoliver même les souvenirs … Et aussi celui de nous faire capter le meilleur de ce que nous voyons. Parce que sur la place, vent ou pas, il faut souvent veiller à ne pas prendre sur le caillou le ballon que se lancent les gamins, aussi turbulents que nous l'étions à leur âge … :)


Ninon [21/10/18 16:44]
Très belles images figées et tellement vivaces dans notre esprit captivé qu'il est ...


Ombrefeuille [20/10/18 17:38]
Merci, Martial, pour cette visite amicale. Ce qui est chouette, en poésie, c'est qu'on peut jouer au ballon avec des mots, des rimes et des images, sans risquer de recevoir le ballon sur la truffe … mésaventure qui m'est arrivée un certain nombre de vois, avec lunettes cassées à la clef :)


Martial [20/10/18 17:24]
Je n'ai pas beaucoup joué au ballon et encore moins sur une petite place. Mais on y est, on vit tout, on ressent tout dans ce délicieux poème. J'apprécie vraiment. Merci.


Ombrefeuille [20/10/18 16:31]
Merci, Colline, pour ce petit tour sur la place. C'est moi qui ai le ballon … je l'ai chipé au Mistral, hé-hé ! :)


Colline [19/10/18 09:59]
Cette place on se la voit et ce mistral on le bénit...


Ombrefeuille [18/10/18 16:06]
Merci à tous et à chacun d'avoir bien voulu cueillir ces moments d'insouciance enfantine, moments précieux qui demeurent endormis au fond de nous.
Je dois dire, cher Lastours, que j'aime beaucoup le Mistral, qui souffle aussi chez nous, un peu plus haut le long du Rhône, et que je suis assez "dingue" pour aller traverser le pont juste les jours où il nous rend visite :)
Je lui dois beaucoup de l'inspiration de ce poème …


Ancienmembre [18/10/18 15:57]
Une très belle ode à l'innocence de l'enfance, toute en tendresse, mais aussi au vent léger et à la douceur du soir, quand tout s'apaise. Il suffit de lire tes vers pour voir la scène et en ressentir toute la tranquillité! Merci beaucoup pour ce beau moment, Ombrefeuille!


Lastours [18/10/18 11:03]
Chez moi, il y a un drôle de vent qu'on appelle le Mistral; mieux vaut rester chez soi quand il se met à souffler. Je préfère le vent de tes mots avec leur souffle bien plus doux.
Cordialement.


Aurorefloreale [18/10/18 08:55]
De tendres vers courts parcourent la feuille, tandis que l'automne perd ses feuilles , la place se retrouve seule , l'enfant endormi!