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LES COMMENTAIRES RECUS:


Wawa [27/01/22 16:37]
Une pluie de bons (et longs!) commentaires méritée.
J'ai beaucoup aimé aussi ce tableau de notre évolution... même si au début j'ai eu un peu peur d'un nouveau texte contre la chasse :)
Allez, on se lève et on marche !


Fregat [26/01/22 17:52]
Que de chemin parcouru par cet Homme qui finit par conquérir l'ensemble de la planète en la mettant avec arrogance peu à peu à sa botte...


Ombrefeuille [26/01/22 17:47]
Une historique-fiction des plus réussies !

Bravo pour cet art de synthétiser en quelques vers l'histoire de l'humanité, depuis les chasseurs-cueilleurs jusqu'aux cliqueurs-twitters !

Bravo, aussi, pour l'humour grinçant de la dernière strophe, destinée entrevue qui donne le frisson ...


Cardaline [26/01/22 12:50]
A Gat : nous ne faisions pas que manger les restes puisque nous les avons exterminés ...... en bandes organisées et ce c'est ce qui fait notre force en plus d'être opportunistes.


Cardaline [26/01/22 12:46]
A Boblawap : C'est étonnant, ce que tu écris à propos de l'ivresse de la poésie correspond à mon prochain poème qui paraîtra mardi 1er Février. Je suis donc en parfait accord avec toi.


Besac [26/01/22 12:17]
Bonjour Cardaline,
La paléontologie du futur verra les jambes arquées céder la place aux phalanges greffées à un écran de smartphone... si futur il y a, car nous sommes déjà en mode survie, dans une société mondialisée où tout va trop vite pour la pensée.
Gat m'a chipé le mot : voici l'ère de l'opportunisme. Quant au numérique, rassurez-vous, il est trop peu fiable pour se passer de l'humain.
J'ai aimé +V


Gat [26/01/22 11:29]
" Il partait à l’assaut des félins de l’Atlas
Des inquiétants mammouths et des tigres voraces "
En fait, nous mangions souvent les restes des grands prédateurs...
Hélas pour le côté mythique, nous étions et nous sommes de sacrés opportunistes pour le meilleur et pour le pire.
Salutations.


Boblawap [25/01/22 20:26]
Bonsoir Cardaline. Je viens de lire ta conception (que je veux humoristique) de l'évolution. En fait, heureusement que l'on n'a pas attendu pour "vivre par la pensée". L'ivresse de la poésie peut à elle seule nous faire oublier le monde ou le transfigurer quand on le trouve trop moche! En toute amitié (poétique).


Juillet [25/01/22 19:35]
Très fort, réel et prémonitoire.
Bravo Cardaline...!!!
J'ai bcp aimé
Je vote


Jim [25/01/22 19:34]
Pardonne, Cardaline, mon côté à l'emporte-pièce, je ne disais pas que tu lisais cela, j'indiquais ce qu'était devenue la presse en traitant, à savoir que même celle spécialisée un peu est devenue cela. Quant à prendre les critères de meilleures ventes pour ceux de qualité, c'est la tendance normato-commerciale du temps, pas la mienne, qui serait plutôt : est-ce propre ou non à passer les siècles ? Sinon, le journal intime de Minouche est parfait.
J'ai donc apprécié ton poème, sa progression, et surtout la touche finale non dénuée d'ironie.
Note : je me suis intéressé à l'IA fin 90, ça reste de la simulation de la naturelle, qu'on ne sait toujours ni définir ni caractériser donc… bcp d'effets d'annonces. Actuellement, on parle du "deep learning", qui est une machine à neurones multi couches dont on ignore ce qui se passe entre chaque couche de neurones, d'où des surprises… En fait, ça simule dans cet environnement artificiel, la sélection aléatoire de Darwin, raison pour laquelle c'est rigolo à regarder, à suivre... Tant qu'une machine ne me pond ni Mozart ni Newton, et ni deux des bébés, je ne m'inquiète pas.


Cardaline [25/01/22 18:36]
A Kerdrel. Pour le moment on se dirige vers l'homme uniquement consommateur. Qui peut dire ce que deviendra l'homme qui est capable du meilleur et surtout du pire ? La fin de mon poème est une pure utopie.


Cardaline [25/01/22 18:30]
Réponse à Jim. Je ne lis pas Paris-Match ni Gala. Je prends mes informations sur France Culture pour l'essentiel et il est certain que si l'intelligence artificielle écrit des romans qui répondent à tous les critères commerciaux, nul doute qu'elle sera exploitée.


Kerdrel [25/01/22 17:40]
je ne crois pas aux thèses sur l'évolution, ou seulement dans l'autre sens, le singe descend de l'homme puisque depuis l'homo-érectus, on se dirige droit vers l'homo détritus



Jim [25/01/22 17:00]
Prendre ses délires pour des réalités, la fiction pour de la science, se donner de nouveaux dieux artificiels, on est très bon pour ces jeux-là. Paris-Match et Gala, c'est vendre du rêve grossier et ça rapporte gros. Un exemple d'incantation inaboutie : la fusion nucléaire et les Tokamaks… tous les 20 ans, on dit que dans 20 ans… et pendant ce temps là, on investit en fric et en travail !


Cardaline [25/01/22 16:48]
Moi non plus je ne serai plus là mais je suis à l'écoute des progrès de l'intelligence artificielle qui, parait-il, en 2050 écrira les best-sellers. Poètes, profitons de notre liberté avant que l'I.A. ne nous détrône.


Jim [25/01/22 16:42]
Tu mets le doigt sur qqch de crucial : la transition chasseur - berger, et ses conséquences. Quant à l'évolution entre maintenant et ce qui s'ensuivra... peut-être : sans mise à l'épreuve éprouvante, pas de pensée. L'automatisation, c'est l'intelligence au service du réflexe. Je ne serai plus là pour assister à cette aberration: le règne de la bêtise perdue dans sa contemplation.