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LES COMMENTAIRES RECUS:


Martial [31/03/19 11:22]
Dès tes premiers mots, tes premiers vers, je me retrouvais en mer et je frissonnais de toutes les émotions vécues lors des départs, lors de couchers de soleil, lors des escales aussi. La mer colle à la peau, tu ne peux t'en libérer. Mais le voudrions-nous ?



Ombrefeuille [29/03/19 17:46]
Lorient sonne ici comme l'Orient ... Nous voilà embarqués dans un voyage sans fin, qussi bien en nous-mêmes que sur les flots, et aussi au hasard de rencontres où se tissent des liens précieux avec des êtres qu'on croit lointains et qu'on découvre proches.
Un sonnet magnifique !!!
Tu sais quoi ? J'avais écrit "sommet" avant de corriger ... Mais au fond, ce sonnet EST un sommet.


Maninred [29/03/19 16:54]
Admirable sonnet. Sa musique à du sens et son saens est musical. On est presque dans du classique... Le vol de gerfauts remplacé par les fous de Bassan. De l'Hérédia... Bravo8


CinquiemeVallee [29/03/19 16:29]
Merci Mireille! Oui, le marin aura beau "toucher les ports", il reviendra toujours d'un monde qu'il ne comprendra jamais vraiment, celui où pourtant il accepta l'invitation à partager des repas impossibles autour de paillasses toujours plus miraculeuses, celles du partage : le partage est la denrée qui sera de plus en plus "exotique" si la "planète -homme" sombre dans son enfer mondialisé... Je n'ai plus de nouvelles d'un humble chef de chantier naval coréen dans la famille duquel je fus chaleureusement accueilli...je me trompe sans doute, mais il y avait "ça" encore jadis sur cette pauvre planète...Bise


CinquiemeVallee [29/03/19 16:19]
Merci Violette!... Je donne les arêtes laissées sur le bord pour corriger l'assiette du navire afin qu'il ne pique pas du nez dans la plume des grands fonds...


Ancienmembre [29/03/19 15:47]
Une nostalgie qui se teinte de ces images de navigation au long cours et des terres de l'Orient qui nous semble si lointain, à nous pauvres gens de terre.


Ancienmembre [29/03/19 11:39]
une arête louche
dans ma bouche se fiche
et du parquet flottant
où tu naviras
en douce à la barbouze
des douanes
tandis que sur ma terre lise
je flottais en apesantise
le nez au vent
les pieds au mou
une toux quinte me poussa
à la flache du vent debout
à bord d'un mât
de vraie misère
où les rieuses me piquèrent
de bec en pis
sur l'autan
en emporte le van
qui tamise nos impostures
bisou


CinquiemeVallee [28/03/19 20:12]
Ah Marine !
Pas si Flore les fout
Tant bourre la machine
À bouillir rampe en plan :

Du capitaine au mousse une fois largué tout,
Bleu de travail chaussures de sécurité !
Le chiquet c'était pour plaire aux autorités...
Du plancher des vaches...
Et surtout aux douaniers...
Ainsi la hiérarchie et ses oligarchies
Etaient donc oubliées;
Neptune commandait;
Le "capitaine", en bleu,
Donnait ce qu'il savait:
Interpréter les ordres divins qui pleuvaient,
Pour le salut du "Bord" !
"Tous pour un , un pour tous!"

Dis Violette, pourquoi tu tousses ?
Merci-bisou !
Bisou !




Ancienmembre [28/03/19 19:31]
j'adore réponds-je végétale
les fous dévoraient-ils les sardines des officiers sur leur collet montées ?oh mess ! what a mess !