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LES COMMENTAIRES RECUS:
Ombrefeuille [14/07/19 17:14] Merci Arcane, pour cette écoute. J'aime la nuit et ses mystères, à la ville, à la campagne, à la montagne, au bord de la mer, en pleine forêt ... bref, partout ! |
Arcane [13/07/19 16:36] Pour une fois les voix de la nuit sont enchanteresses et je les écoute avec ferveur, mot à mot ! Merci |
Ombrefeuille [02/07/19 16:55] Merci, Colline ! J'y vais souvent par la pensée, alors nous nous croiserons peut-être ... :) |
Colline [02/07/19 07:02] "Dans les voix de la nuit Qui caressent l'alpage, Il y a le repos Des étoiles semées. Le ciel vaste a conduit Cette cime sauvage Et le pas des troupeaux Par ces sentes pelées." Magnifique...je m'y voyais ... |
Ombrefeuille [01/07/19 18:06] Merci, Tanit ! Il est vrai que la lenteur du temps "là-haut" sur les alpages donne le sentiment de l'éternité. Un luxe rare en notre monde de l'immédiat et de la hâte ... |
Tanit [01/07/19 07:32] j'aime "L'éternité qui danse Sur le rebord du temps" |
Ombrefeuille [25/06/19 17:47] Merci mille fois, Louis. J'espère avoir, par mon travail d'écriture, rendu hommage à la sagesse de ces solitaires qui, tels le berger, se mettent à l'écoute de la nature, du temps et de l'éternité. |
Louis [24/06/19 09:44] bravo, du beau travail "L'éternité qui danse Sur le rebord du temps" |
Ombrefeuille [23/06/19 18:38] Merci Anabert ! Ce voyage sur les pentes de l'alpage est aussi une plongée en soi et une élévation vers ce qui nous dépasse et nous appelle. |
Anabert [23/06/19 18:30] Merveilleux poème qui nous fait voyager dans des espaces montagnards.. merci |
Ombrefeuille [23/06/19 17:36] Merci à tous et à chacun pour vos regards croisés et votre goût pour ce silence unique, si propice à l'élévation de l'âme. Merci pour ton poème, Violette, tellement profond, et qui va chercher jusqu'à l'essence-même des mots ... "Ecriture parnassienne", dis-tu, Obofix ... Waow ! Je n'aurais jamais pensé recevoir un tel compliment car je ne prétends pas atteindre à ces hauteurs ! Merci donc :) Et bien-sûr encore merci à chacun :) Tu as raison, CinqV, mer et montagne se rejoignent en un même absolu qui ne laisse pas de place à l'à-peu-près et qui comble ce que nous avons en nous de plus haut. |
Aurorefloreale [23/06/19 15:30] Le berger est vraiment le seul à connaître ces instants rares!!! |
Ancienmembre [23/06/19 13:50] À l'oreille, on perçoit 12 alexandrins. Mètre qui convient à merveille à la hauteur et à la sérénité des images. La mise en page de hexamètres met en valeur le refrain et les rimes "internes". Peut-être aurais-tu pu laisser au lecteur le plaisir raffiné de les découvrir. Quoi qu'il en soit, j'adhère totalement à tes sujets et à ton écriture parnassienne. |
Oxalys [23/06/19 11:56] Si vrai! Là-haut, l'air est plus rare mais si vivifiant que les habitants, malgré l'altitude, ignorent les ravages de la solitude... J'avais écrit un poème sur ce thème. Il doit être quelque part dans mon recueil.. Bravo |
Arcane [23/06/19 09:57] Rien de plus! je n'inventerai Aux délices d'une nuit sauvage, Dans la montagne marcherai Grisée par la poésie de l'Alpage . J'aime et je vote :) d'Arcane |
Isabelle Chevalier [23/06/19 08:36] Superbe ! Une sérénité au sommet. Bravo ! |
Machajol [22/06/19 23:35] Et la pensée poursuit L'éternité qui danse Sur le rebord du temps Habillé de longs voiles … Une fin en apothéose ! Merci encore |
Machajol [22/06/19 23:27] Magnifique poème, Ombrefeuille bravo et toute mon estime pour cette Belle Ecriture ! |
Piwi87 [22/06/19 23:01] C'est une situation dans laquelle j'aurai aimé me trouver. La nuit, les brebis et ces instants pensifs tout en regardant les étoiles. Merci Colette pour ce si bel écrit ! J'ai adoré +V Amitiés Pascal |
CinquiemeVallee [22/06/19 22:44] En mer aussi, de quart de nuit ... Quel que soit l'air que l'on respire... Dans leurs confidences sont prises Nos images où l'on se grise. Comme à ton écriture exquise. |
Ancienmembre [22/06/19 18:32] L’air du vent J’ai sculpté le son des montagnes Lorsque seule j’ai vu le vent Gronder autour de moi Dans la diabase ténébreuse Et le granit plus clair J’ai réduit l’univers A un écho de voix Un souffle mélodique Dans la poussière d’eau Fouettant la passerelle A qui parlait le vent Pour que nul n’entendît Sans que bougent les feuilles Il tourna sourdement Autour de ma statue Et s’arrêta D’un coup Je dis alors Avez-vous vu Avez-vous entendu Et tous me regardèrent Non Alors Marine 24 septembre 2012 voilà si tu permets une expérience inoubliable |
Ancienmembre [22/06/19 18:28] oui le berger commerce avec les éléments j'en ai fait l'expérience j'aime ton poème |