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LES COMMENTAIRES RECUS:


Ombrefeuille [06/06/22 18:00]
Mille mercis à toi, Jim, pour cette lecture que j'ai écoutée avec délectation.

Outre la qualité de la déclamation, tu as cette science du silence qui laisse entendre intérieurement la musique qui a présidée à l'écriture du texte.

Chapeau ! J'en demeure sans voix !


Ombrefeuille [03/06/22 16:49]
Merci à tous pour les mots que vous avez déposés ici en écho aux miens et aussi (peut-être surtout, et c'est là tout-à-fait pertinent) à cette immortelle Symphonie du Nouveau Monde ...

Cette oeuvre fait partie de mes "essentiels", et sa découverte (assez tard, car j'étais déjà collégienne, ma famille ne baignant pas dans le classique) fut un émerveillement qui, depuis, ne s'est pas terni.

Et voici qu'un soir récent, en préparant le repas, je fredonnais cet air si apaisant. Puis, dans ma tête, cela fit très vite un-deux-trois-quat'-cinq-six, un-deux-trois-quat'-cinq, et là je réalisai : "Tiens, mais c'est un hendécasyllabe !"

Forcément ça a fait tilt : Ecrire qqch sur cette mélodie. Ben oui, mais quel thème ? Quelle idée ? Quel propos développer ??? Rien de mieux, donc, que la Nature et la quête de Sens, de préférence en mode imbriqué, et zou ! Au boulot ! Ce fut un sacré chantier, très vorace en papier et en encre, au cours duquel je remis "souvent sur le métier" mon "ouvrage", selon l'avisé conseil de Quionneprésenteplus.


Loren [01/06/22 16:54]
Splendide !!! Les images sont superbes !Bravo Ombrefeuille ! Je vois une nature sublime prendre forme en vos vers. +V


Claudel [31/05/22 20:41]
Très joli poème inspiré d'une oeuvre symphonique que j'aime et souvent entendue dans quelques salles de concert. +V


Lili [31/05/22 16:33]
Belle musique


Colline [31/05/22 13:12]
Un moment d'égarement plus que delicat


Cardaline [31/05/22 12:59]
Le 2ème hémistiche, plus court que le premier, prend ainsi plus de force ; c'est tout-à-fait inhabituel comme rythme ; en tous cas cette harmonie irrégulière fonctionne parfaitement d'un bout à l'autre du poème. C'est un peu l'art de ne rien dire mais quel Art ! Les mots sont posés avec la légèreté de pattes d'araignée et n'en ont que plus de saveur. Toute cette délicatesse se termine par une strophe pleine de philosophie au vrai sens du terme. Etonnant et très beau poème !


Wawa [31/05/22 11:10]
çà se joue sur 11 pieds mais c'est très harmonique ! Une belle maîtrise associée à de belles images, un dernier sizain émouvant... et la salle applaudit debout !


Oxalys [31/05/22 11:03]
Un de mes morceaux préférés -d'ailleurs, je ne sais pourquoi, les neuvièmes symphonies sont souvent les plus belles, à mon avis- avec une magnifique interprétation quelque peu différente de la mienne. J'ai toujours associé ce largo avec l'émerveillement des émigrés découvrant les paysages majestueux du Nouveau Monde.

Une symphonie essentielle et éternelle


Davlieb [31/05/22 09:43]
Une oeuvre d'art. Superbe.


Kerdrel [31/05/22 09:27]
Un hendécasyllabe mené de main de maitre par une cheffe d'orchestre émérite et comme disait Mozart il n'y a pas trop de notes, juste ce qu'il faut pour que l'harmonie règne


Louis [30/05/22 23:48]
de belles images émanent de l'harmonie du poème
bravo


CinquiemeVallee [30/05/22 21:44]
J'ai rêvé...Merci !


Jim [30/05/22 20:05]
Super réussi et beau ! J'apprécie particulièrement ces 4 vers:

"Du silence éternel où vont les vivants
Naît la pente où flamboie l’ombre de la cime."


et

"Une brise éthérée calme l’océan,
Et la plage est parée d’ondes irisées".


La première scène, on la voit, la seconde on la sent.

Très bonne maîtrise de cet hendéca lequel laisse, en fin de vers, le lecteur en suspension.