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LES COMMENTAIRES RECUS:


Ombrefeuille [04/07/22 16:11]
Mille mercis à vous, Philippe.

Fort heureusement, Dame-Pluie est enfin venue rendre à son fidèle amant une visite fort appréciée.

Traiter en poésie des questions écologiques et climatiques n'est pas facile si on ne veut pas tomber dans le catastrophisme et le moralisme, aussi ai-je choisi ce biais de la relation amoureuse et épistolaire, son caractère indirect me semblant viser plus juste.


Philippeb [02/07/22 21:56]
Excellent bouleau Colette, je suis sous le charme et je tremble à l'idée que cet hêtre n'ait pas retrouvé son amante!

Sonnet très bien mené, avec une fin surprise parfaite, Philippe


Ombrefeuille [24/06/22 16:56]
Grand merci à toi, ami Jim, pour cette interprétation écoutée voici quelques jours sur mon smart (mais pour les comms et autres signes de cordialité, je préfère cent fois l'ordi, plus conciliant avec mes gros doigts et mes petites mirettes, d'où le retard à saluer ta performance).

J'ai beaucoup apprécié la manière dont tu as saisi l'âme de mon texte, et j'imagine volontiers, grâce à ta lecture, que les arbres parlent vraiment mais que nous ne savons pas les entendre.

Toi, tu as su, alors bravo et encore merci.


Ombrefeuille [15/06/22 17:36]
Grand merci à vous, Miouz, pour vos mots si élogieux.

Il est vrai que lire à voix haute un texte qu'on apprécie permet de "sentir" ce dernier plus profondément encore. J'imagine à cet arbre, féal de Dame Pluie, une apaisante voix de baryton-basse au rythme calme sans trop de lenteur cependant ...

Quant à moi, je lis très mal à voix haute, aussi ne tenterai-je pas ici un tel exercice :)


Miouz [12/06/22 16:14]
Je suis conquise par la qualité, la fluidité des vers. Un poème que l'on a plaisir à lire à voix haute.


Ombrefeuille [12/06/22 16:02]
Mille mercis à vous, Loren, pour ce cadeau superbe en illustration. Un arbre royal en effet, et ce à plus d'un titre : non seulement l'illustre propriétaire du jardin où il a poussé, mais surtout ses dimensions et sa majesté propres :)

Merci à vous également, Fregat, pour ces mots élogieux où transparaît votre retard toujours attentif aux sujets traités sur le site et à la plume des auteurs à qui vous faites l'honneur d'une visite que chacun ne peut qu'apprécier.


Fregat [11/06/22 09:12]
Frustration, désir, souffrance et soulagement... Le procédé de personnification de ce vieil arbre quasi humain, doué de sentiments, nous fait ressentir intimement la palette d'émotions décrite. Une belle réussite!


Loren [11/06/22 09:10]
J'ai adoré ce poème, Ombrefeuille. C'est pourquoi, je me suis permise de poster une photographie prise à Londres dans un jardin d'un château de la reine d'Angleterre. +v


Ombrefeuille [08/06/22 18:21]
Merci à vous tous pour vos lectures aussi attentives au fond qu'élogieuses au sujet de la forme.

Je souhaitais écrire sur ce thème de l'attente angoissée de la pluie, mais je ne voulais pas tomber dans le pathos ou dans le militantisme écolo (un exomonde pour moi).

Le tour de la lettre d'amour, qui plus est avec un ton à l'ancienne et l'usage du voussoiement, m'a semblé ici le plus pertinent. Et l'orage (pas trop violent, ouf !) arrivé chez nous dimanche après-midi m'a aidée à trouver les mots :)

Un merci tout spécial à toi, ami Jim, pour cette référence à Baudelaire, ce vers de "Recueillement" me ramenant voici trente-sept ans, lors de l'oral du bac de français, où j'eus à présenter un commentaire composé (exercice que je goûte à l'extrême) de ce poème ... et où cela me porta chance :) En tout cas, que mes mots t'aient fait penser à ce grand Charles-ci est un honneur pour moi.


Cardaline [08/06/22 09:34]
Quelle chute ! On n'en trouve pas souvent d'aussi surprenante. Moi qui vit en symbiose avec la nature et qui attendait la pluie avec autant d'impatience que le brin d'herbe jauni, jugez de mon bonheur à cet épilogue ! Lorsqu'on est arrivé à la fin, on relit ce sonnet en savourant la justesse de chaque mot qui, à la première lecture, intriguait. Un réèl bijou ! + V


Colline [08/06/22 07:02]
Des vers plus qu'agreables , aériens...j'aime beaucoup cette liberté en votre signature


Claudel [08/06/22 02:23]
Magnifique.. bravo Colette ! +V


Jim [07/06/22 20:10]
Au tout début était le jardin, tout en dérive, jardin sauvage, jardin cultivé, forêt ou Eden. Ce jardin était animé de nombreux souffles qui présidèrent à tous les amours et devenir. De la Genèse à l'ombre de la feuille sous laquelle tu écris, l'origine est bucolique, et le demeure malgré tant d'efforts contraires. Le vers Effacer mon angoisse et calmer ma douleur, bien sûr évoque sois sage ô ma douleur et tiens-toi plus tranquille, mais surtout sonne comme un classique, et je l'entendrais bien chanté par un ténor, là aussi, ça me renvoie à quelque chose d'un opéra, mais mon neurone ne pose sa synapse dessus...
Le sujet de ce poème est donc celui d'un aimant ayant gardé sa fiance en l'objet de son amour.


Louis [07/06/22 20:07]
de beaux vers sur une belle idée
"De votre voix limpide au galbe cristallin :
Cent fois je crus sentir votre parfum divin"
j'espère que l'arbre a tenu le coup ;-)


Kerdrel [07/06/22 19:32]
La belle ondée ou Ondine, Nixe de la mythologie qui se montre elle bien une maitresse infidèle, un texte subtil tout en nuances, la nature jadis généreuse en souffre