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Oxalys [15/08/19 10:16] Cette comparaison me fait rougir de fierté, Gérard. Je viens de jeter un coup d'oeil sur la biographie de Fabre -me souviens vaguement d'un poème de lui appris en primaire qui parlait de "cétoine dorée"- Il mériterait une place dans notre bibliothèque des artistes d'hier, je trouve ! Amicalement

Louis Vibauver [14/08/19 13:42] Une belle leçon de sciences naturelles digne du naturaliste, entomologue et poète J.H Fabre; Bien cordialement G

Oxalys [09/08/19 22:22] Plaisir de partager ce savoir sur un site de poésie qui nous tient à coeur. Merci Isabelle

Oxalys [09/08/19 22:19] C’est aimable à toi Marcek de souligner le double aspect de ce poème que j’ai pris plaisir à écrire (sans douleur !) tant je trouve cet insecte fascinant. heureuse de voir que tu as retrouvé le chemin des poètes.net ;-)

Oxalys [09/08/19 15:47] A la bonne heure Banniange ! Voilà un commentaire qui ne fait pas dans le "poétiquement correct" - j'adore ! A propos de "correctness" - L'adjectif "engrossée" au vers 21, dénué de vulgarité, qualifie le sort de la reine. Vierge et svelte au moment de son seul et unique vol nuptial, après son retour à la ruche, son abdomen grossit dans de telles proportions qu'elle ne pourra plus voler tant que durera sa période de fertilité (2 à 3 ans environ).

Isabelle Chevalier [09/08/19 09:02] Superbe et instructif. Bravo !

Marcek [08/08/19 21:24] Pauvre vieux ! Peu de males en feraient autant, quoique , dans la nature, on trouve pas mal de ces sacrifices ! Bel écrit didactique tout en restant poétique !

Banniange [08/08/19 12:38] Et ben , les pauvres "Post-coïtum animal morte", un destin que ne doit guère envier la société des triqueurs(non, non ps trinqueurs) toujours prompts à la dégaine...certes la nature peut se révéler cruelle mais je pense qu'elle est largement surpassée...Merci pour ce bel écrit qui force la réflexion!

Oxalys [08/08/19 10:00] Un "savoir" peaufiné récemment grâce à un couple d'amis passionnés d'apiculture, propriétaires d'une dizaine de ruches "itinérantes" dont deux installées chez nous depuis le printemps dernier. Rien n'est imaginé, tout est bien réel. La science n'est pas encore parvenue à résoudre le secret de la parthénogenèse que l'abeille pratique depuis des temps immémoriaux. Stupéfiant, non ? Assez pour illustrer à ma façon le thème du mois, en tout cas. Merci Lucienne pour ton sympacomm

Oxalys [08/08/19 09:49] Un sort aussi cruel pour les uns que les unes, l'ouvrière perdant la vie en nous piquant, le faux bourdon sacrifiant la sienne en la transmettant à sa descendance. Je doute que les keums soient partants pour ce genre de challenge ! Salut Obo!

Oxalys [08/08/19 09:43] Zeev "application à la lettre du féminisme nihiliste" Où il faut reconnaître que ce féminisme n'épargne pas le sexe dit faible non plus - La reine, réduite au rôle de reproductrice, sera impitoyablement chassée de la ruche par ses propres filles dès qu'elle montrera signe de faiblesse à la ponte... Je doute que les journaleuses et commentatrices approuvent ce châtiment ! Rire "en coin"

Oxalys [08/08/19 09:33] Un écrit joué en bémol qui fait baisser d'un ton le lyrisme inspiré d'habitude par cette jolie butineuse. Une hiérarchie sans pitié, du haut en bas de l'échelle, pour les mâles comme les femelles. Tout n'est pas que miel dans la ruche ! Merci Colette d'avoir si bien perçu l'intention de ce poème.

Arcane [07/08/19 10:45] Faux bourdon ou inutile animal, Par Catherine en long et large étudié Je le préfère c'est bien normal Mis en partition, brillant, échevelé Par Korsakov, en vertige musical. Néanmoins Catherine, Je dirai, … Foorrmidableu ! Foormiidableu ! Quelle poétesse imaginative tu es ! A lire et relire avec vote à l'appui :) Lucienne

Ancienmembre [07/08/19 08:58] Si elle ne finissait pas si mal, bien des keums rêveraient de mener la vie d'un faux bourdon.

Zeev stern [06/08/19 20:15] Joli poème ,amusant et angoissant à la fois .. Exemple de l 'application à la lettre du féminisme nihiliste qui fait tant rêver ed nombreuses journaleuses et commentatrices ;^))

Ombrefeuille [06/08/19 18:13] Destin cruel ... mais nécessaire ! Dame Nature fourmille de ces mystères de cruauté qui donnent à réfléchir. Un écrit dense par le fond et splendide par la forme.