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Ombrefeuille [25/10/22 17:02] Grand merci à vous, amie Loren, pour votre lecture attentive et vos mots élogieux qui honorent mon texte. Quelle joie de vous voir à nouveau en ces lieux !

Loren [25/10/22 15:21] Ces vers revêtent un charme indéniable. Et l'on se prend à rêver en vous lisant, Ombrefeuille ! C'est la magie de vos vers! +V

Ombrefeuille [23/10/22 17:28] Merci à vous, Myotte, pour votre lecture et pour ces mots qui me touchent. L'automne est depuis toujours ma saison préférée, alors ce fut assez facile d'en célébrer les beautés :)

Myotte [23/10/22 16:27] Quelle magnifique évocation de l'automne! Merci! +V

Ombrefeuille [19/10/22 18:18] Merci à vous, amis du soir et des automnales rimes, pour ces partages tout en sensibilité. Hélas, l'automne est plus absent que jamais cette année, les dérèglements climatiques portant leurs funestes fruits. Il m'a beaucoup plu d'imaginer l'amante attendant son aimé, puis l'instant si unique des retrouvailles ...

Claudel [17/10/22 14:40] Wow ! Bel hommage à l'automne pour l'ombre du soir. +V

Kerdrel [17/10/22 09:08] j'aime beaucoup cette personnification des éléments l'ombre et l'automne qui s'embrassent comme deux amants Bravo ! +V

Attention [16/10/22 19:36] Tellement beau, comme on en a l’habitude, l’histoire de l’ombre du soir qui prend en amour les l’automne (feuilles comprises) , qu’on a presque envie d’en (re) citer la belle fin « L’ombre du soir, alors, reçut en grand secret L’automne, son amant, qu’elle croyait volage Genou en terre à ses pieds, lui noble et sage, S’offrait dans les trésors serrés en son coffret. » Mais qui… peut savoir ce qui est le mieux…Il y a des poèmes qu’on aime tant qu’on a presque envie de les (réécrire) dans son cœur ! Amicalement, Jacques

Wawa [16/10/22 09:57] Un texte vraiment très beau. Tes mots sont parfaitement choisis et rendent ici une ambiance douce et sereine. L'idée de cette rencontre est très originale aussi. Enfin, les rimes embrassées conviennent à merveille ici.

Colline [16/10/22 09:15] "D’une feuille froissée, d’un pétale fané, Elle avait adorné sa longue silhouette. Le vieil or des lointains flamboyait sur sa tête Où déclinait, serein, le soleil couronné." Merci pour cette grâce si délicate et si poétique.

Louis [16/10/22 06:13] quel beau poème ! la sérénité , la complicité de l'ombre du soir et l'automne. une vue magnifique sur le monde du "silence inconnu"