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Matriochka [27/04/20 18:16] L'intensité de ce poème évoque très bien la majesté des pyramides de Giezh, le parallèle entre leur destination de tombeau royal et les vies que leur construction ont coûté est judicieusement établi. N'empêche... ça doit être un moment fascinant, inoubliable, de se trouver au pied de tels monuments!

Marcek [27/04/20 11:40] Merci à toi, chère Macha !

Machajol [22/04/20 06:09] Ce papyrus se déroule avec délectation, merci Marcek pour ta plume !

Marcek [21/04/20 16:24] Louis, sous la beauté des édifices,n’oublions jamais l’empreinte douloureuse qu’à apposée la souffrance des hommes ! Merci de ta lecture !

Marcek [21/04/20 16:22] Excellente mémoire, Oxalys. Je pense avoir exprimé semblable réflexion dans un poème qui évoquait Versailles. Merci beaucoup d’être passée !

Louis [21/04/20 13:45] merci de rappeler cette " piétaille" qui a participé à tous ces travaux en Egypte (et à tous nos grands monuments et palais)

Oxalys [21/04/20 09:52] C'est exactement le même sentiment qui me taraude, Marcek. Nous en avions déjà parlé, je crois, sur un autre thème, je ne me souviens plus lequel. J'aime la pudeur dont tu as su revêtir ton poème pour évoquer ces milliers d'anonymes.

Marcek [21/04/20 00:53] Merci à tous deux, Léo, Ombrefeuille de de votre passage ! Je ne peux admirer ces édifices élevés par les hommes à la gloire de Dieu ou des puissants de ce monde, sans penser aux sacrifices de tant de vies humaines sur les chantiers !

Ombrefeuille [20/04/20 18:10] Splendeur et douleurs sont pour toujours mêlées jusque dans les moindres recoins de ces édifices, et ta plume rend ici avec le ton juste cet "enchevêtrement" qui est le lot de l'histoire des hommes.

CinquiemeVallee [20/04/20 16:24] J'imagine ... Tout comme je vois encore... Bien rendu !