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LES COMMENTAIRES RECUS:


Graziella [02/07/21 21:14]
Superbe !!! MERCI


Oxalys [05/12/20 11:05]
J'y reviens - pour les besoin de la cause - D'abord avec un mois de retard, car on parlait d'ARMISTICE le mois prédédent. Ensuite parce j'admire la perfection de l'écriture et déplore que de si beaux poèmes passent presque inaperçus. Je le mets dans mes favoris pour ne pas oublier.


Libellule21 [21/06/20 19:08]
C'est très juste, Ombrefeuille, merci de ce commentaire.
Les Saint Jean d'aujourd'hui n'ont plus aucun sens de croyance. Trop de matérialisme, sans contemplation, sans rêves...
La poésie reste encore et toujours...

Merci à toutes et tous de votre lecture de mes écrits.


Ombrefeuille [21/06/20 16:47]
Une écriture parfaite, en ce sonnet qui "sonne" juste, et un flash saisissant sur un instant qui précéda ce que l'on sait ...

Quel feu de la Saint-Jean pourrait nous donner des forces aujourd'hui pour affronter le chaos du temps ?

Puisse la poésie remplir un peu
cet office ...


Saintes [20/06/20 17:53]
Belle évocation. Merci.


Feuilledor [17/06/20 16:34]
Votre écrit est très frais et vivant merci


Varech [17/06/20 15:07]
Prélude à une catastrophe. Un instant d'innocence. Merci de l'avoir fait revivre.


Lastours [17/06/20 08:18]
La joie et la tragédie si près l'une de l'autre, le tout très habilement évoqué par une superbe plume et un sonnet sans fautes. Que du beau et du bon.


Lastours [17/06/20 08:17]
La joie et la


Libellule21 [15/06/20 18:21]
Dans notre région (le Morvan), les jeunes amoureux se retrouvaient au "bain de feu" et, main dans la main, sautaient ensemble le brasier pour s'assurer de s'aimer longtemps (au moins une année !). Les mères franchissaient également le foyer avec leur enfant dans les bras pour éloigner les maladies. On rapportait des brandons dans un sabot pour conjurer la foudre.
Outre ces croyances païennes, c'était surtout l'occasion de fêter la nuit la plus courte de l'année, d'espérer de bonnes moissons et autres récoltes mais surtout de rencontrer d'autres jeunes !

Oui, le Jeannot est rentré, brisé, comme beaucoup de Poilus mais en vie. Je l'ai connu et je lui dois nombre de contes et récits de notre terre morvandelle.


Matriochka [15/06/20 17:41]
Vraiment bien évoqué, prenant, ce portrait de ces deux personnes (jeunes amoureux?) se retrouvant avec enthousiasme et insouciance pour cette dernière Saint-Jean avant l'horreur du conflit meurtrier qui allait suivre.

Avaient-ils une quelconque idée de ce qui allait advenir peu de temps plus tard?

Une question suit immédiatement le poème, celle de savoir si le Jeannot est revenu vivant de cette horrible guerre, et si oui, dans quel état...


Oxalys [15/06/20 10:55]
Bouleversante et magnifique interprétation du thème de la Saint-Jean, aussi vénéré à droite qu'à gauche de la rive du Rhin et fêté de la même manière autour des feux de joie. Je sais, pour avoir entendu et/ou lu les récits des témoins de l'époque que le menu peuple, ici et là-bas, n'aurait jamais imaginé ce qui se tramait en ce beau mois de juin 1914.


Libellule21 [15/06/20 10:51]
Le verbe "feu-foller" est une pure invention de ma part :) Il se conjugue parfaitement bien ! et puis, j'ai bien droit à une licence poétique, non ?