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LES COMMENTAIRES RECUS:


Colline [13/11/20 20:12]
Merci Catriane pour cette vérité


Catriane [12/11/20 11:56]
""De ces jeunes années, dépouillées sur le calendrier."" que de temps perdu a espérer survivre poème délicat mais qui souligne bien les affres de la guerre


Colline [11/11/20 11:29]
Merci Ombrefeuille pour votre délicat commentaire.
Merci Philippe b pour votre passage.


Philippeb [11/11/20 11:06]
Je partage les avis déjà émis et j'ai découvert le verbe adoniser que je ne savais pas exister...:-)


Ombrefeuille [09/11/20 16:30]
Peu de vers et un art consommé
de l'effleurement tout en délicatesse suffisent à évoquer l'effroi de cette guerre qui ne fut point, hélas, la dernière ...

La mémoire des morts à travers
les mots des vivants, tel est votre témoignage, l'un des plus beaux
qui soient ...


Colline [04/11/20 11:51]
Merci de votre passage Lastours


Colline [04/11/20 11:51]
Merci Saintes. Apparemment vous me connaissez bien....


Colline [04/11/20 11:50]
Merci à vous Loren


Saintes [04/11/20 11:22]
Une évocation qui vous ressemble : toute de sensibilité et que l'expérience rend encore plus prenante.


Lastours [04/11/20 08:40]
Un conflit évoqué en peu de mots bien choisis et une forme originale.


Loren [03/11/20 20:59]
Que j'aime cette transmission des effrois articulés!


Colline [03/11/20 14:25]
Merci bel ami Louis


Louis [03/11/20 13:28]
des mots bien posés
"Les effrois articulés , lorsque, la confession de l' aïeul
En écorchure de la nuit noire, secrète sans aveux
De ces jeunes années"