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LES COMMENTAIRES RECUS:


Catriane [18/11/20 00:19]
Merci Machajol pour ce commentaire Les guerres ont en commun, les souffrances et les morts


Machajol [15/11/20 11:39]
Très belle écriture, qui dit avec profondeur ces douleurs et souffrances malheureusement vécues durant cette "sale" guerre ; merci pour ces mots, Catriane.


Catriane [11/11/20 17:19]
Wawa C'est vrai ce n'est pas si loin espérons que cela reste assez loin pour ne plus recommencer !Merci pour le commentaire


Catriane [11/11/20 17:17]
CinquièmeVallée Je crois que les épouses ne voulaient pas qu'on remue toute cette souffrance et cela peut se comprendre  cette époque il y avait beaucoup de taiseux EUH!!! moi c'est Annie pas Lucienne lol


Catriane [11/11/20 17:15]
Ombrefeuille Par respect pour ce qu'ils ont vécu, aurions-nous osé leur demandé leur ressenti. J'ai appris que beaucoup ont été hospitalisés en psychiatrie et enterrés à l'écart des soldats car c'était une honte.


Catriane [11/11/20 17:11]
Colline les guerres ont tués tant de jeunes qui ne demandaient qu'à vivre leur jeunesse sans tracas. Nos jeunes ont pour le moment la chance de ne pas vivre ça Merci pour le commentaire


Catriane [11/11/20 17:09]
Oui Varech J'ai appris aujourd'hui qu'il existait un cimetière pour les soldats devenus fous suite à la guerre. A l'époque c'était une honte.


Catriane [11/11/20 17:06]
Ottomar Je n'ai jamais osé demander à mon grand-père et père ce qu'ils éprouvaient. J'avais peur que les souvenirs ne leur soient trop pénibles. Ton grand-père a évoqué ce que je pense Merci


Catriane [11/11/20 17:04]
Oui Louis, les grands comme ont dit décident et envoient les autres au casse-pipe Merci pour ton regard


Wawa [09/11/20 23:15]
Les mots sont simples et ils nous touchent, on voit ces hommes. Comme cela a du être difficile pour eux, et aussi pour leur famille !
Tout cela n'est pas si loin finalement...


CinquiemeVallee [09/11/20 18:10]
Mon "Pépé" quand on lui parlait de "ça" devenait comme Laurel sur le point de pleurer face à Hardy...Alors "Mémé" nous criait dessus...Ils étaient sept frères, et tous avaient de réactions comparables: nos oncles se mettaient à parler breton avec "leur patronne"...je pense qu'ils disaient une chose comme ton poème, Annie... Merci !


Ombrefeuille [09/11/20 17:15]
Mon grand-père fut de ceux qui "en" revinrent ... Mais il est mort quand j'étais enfant, et je n'ai pas pu lui demander ce qu'il avait éprouvé à ce moment-là, s'il avait été réquisitionné pour faire partie de l'un de ces nombreux pelotons d'exécution qui devaient exécuter les "fusillés pour l'exemple", s'il avait eu longtemps des cauchemars après son retour chez lui ...

Ton poème au verbe sans chichis, car les "Poilus" étaient ainsi, nous rend présents tous ces disparus, ceux qui tombèrent et ceux qui survécurent ...

Merci pour ce "mémorial" de ta plume.


Colline [09/11/20 17:06]
Belle écriture sur ces douleurs bien cachées chez ces jeunes hommes. que la cruauté des humains a sacrifié à vie.
Merci


Varech [09/11/20 13:40]
Pour certains et certaines, c'est une autre guerre qui commençait...


Loren [09/11/20 13:00]
Merci Catriane pour ce beau poème. J'aime quand tu dis que l'armistice est un jour de gloire. La paix doit être glorifiée comme la vie. "Ils se sentent meurtris comme des vieillards en survie". Ce vers est magnifique tant il exprime la cruauté de la guerre et ses meurtrissures.


Ottomar [09/11/20 11:40]
Mon grand père qui était à Verdun ne pouvait pas oublier et ses souvenirs hantaient effectivement ses nuits.
Merci Catriane.


Louis [09/11/20 10:24]
merci pour ces beaux mots
"d'autres ont encore peur."
et dans tout ça, les généraux incapables, imprévoyants et à l'égo démesuré ont une grande responsabilité


Catriane [08/11/20 23:08]
Merci Alain Je me suis demandé comment on pu se sentir ces soldats après la guerre. Comment ont-ils géré le fait d'avoir tué des soldats souvent aussi jeunes qu'eux.


CinquiemeVallee [08/11/20 22:58]
Merci pour ce grand poème nous faisant frissonner dans ce qu'ont subi ces jeunes humains de la part d'une humanité en proie à sa pire crise de démence.