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Cardaline [15/05/21 10:47] Merci Serona. La déforestation et autres calamités sont mes sujets de prédilection tant ils m'affectent car je vis en emphatie avec la nature, cependant je suis bien consciente que la poésie est une arme dérisoire.

Cardaline [15/05/21 10:38] Le titre est une erreur, j'en conviens ; je l'ai modifié pour l'adapter au thème du mois. Ce sujet me hante depuis 40 ans. Je fais ce que je peux à titre individuel mais ne compte guère sur les états et les entreprises tant que ne brillera pas pour eux l'intérêt financier d'agir.

Serona [15/05/21 10:35] Beau poème qui décrit si justement cette déforestation qui n'en finit pas à travers le regard de deux êtres lors d'une balade qui pourrait sembler si singulière à première vue. Merci Cardaline. :)

Ombrefeuille [14/05/21 18:22] Le titre est surprenant, quelque peu déroutant, mais le propos conduit à réfléchir au sujet de ce que nous pouvons entreprendre afin de sauver la terre. Quand je dis "nous", ce n'est pas seulement des citoyens que je parle, car on ne saurait faire peser sur les gens pris isolément le poids d'un tel labeur. Ce sont avant tout ceux qui ont entre leurs mains les leviers pour agir : les Etats et les entreprises, ainsi que les institutions internationales. Ce cheminement de deux compagnons silencieux en dit long quant au dialogue intérieur qui s'instaure en nous entre la volonté et la pesanteur ...

Capri [14/05/21 05:21] oups! j'ai mal interprété ton poème, axée que j'ai été par les deux personnages, que j'ai imaginé être des religieux en robe de bure.. effectivement la description du paysage (aride, livide, mort, etc), aurait dû me poser question...

Loren [13/05/21 21:09] Beau poème, Cardaline. J'aime particulièrement les deux premiers quatrains que je trouve superbes.

Cardaline [13/05/21 09:19] La bure est, dans ce poème, la couleur qui, peu à peu, supplante la verdure dans un monde futuriste que je ne peux m'empêcher d'imaginer. Les évènements du présents y sont pour beaucoup je pense.

Capri [13/05/21 08:00] Un portrait de ce couple de marcheurs où l'auteure exprime son ressenti face ce "cocon menteur", " "...ressemblant au bonheur". Cette robe de bure devient symbole de renoncement à la "vie". Merci Cardaline.