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LES COMMENTAIRES RECUS:
Salus [03/06/21 22:27] ...Tac !...Tac !...Tac ! Merci, Serona ! |
Serona [30/05/21 17:16] Très bel écrit mêlé de métaphores et mythologie. Terrible fragilité d'un"moteur" qui peut rompre à tout instant et nous ramène à notre simple état de mortels. Merci Salus. |
Salus [28/05/21 20:01] Monstrueuse mansuétude ! "Charmants"...Vraiment ? - Petit clin d'œil pseudonymique en des vers extraordinaires : Chanson de la plus haute tour Oisive jeunesse A tout asservie, Par délicatesse J’ai perdu ma vie. Ah ! Que le temps vienne Où les cœurs s’éprennent. Je me suis dit : laisse, Et qu’on ne te voie : Et sans la promesse De plus hautes joies. Que rien ne t’arrête, Auguste retraite. J’ai tant fait patience Qu’à jamais j’oublie ; Craintes et souffrances Aux cieux sont parties. Et la soif malsaine Obscurcit mes veines. Ainsi la prairie A l’oubli livrée, Grandie, et fleurie D’encens et d’ivraies Au bourdon farouche De cent sales mouches. Ah ! Mille veuvages De la si pauvre âme Qui n’a que l’image De la Notre-Dame ! Est-ce que l’on prie La Vierge Marie ? Oisive jeunesse A tout asservie, Par délicatesse J’ai perdu ma vie. Ah ! Que le temps vienne Où les cœurs s’éprennent ! Arthur Rimbaud |
Lastours [28/05/21 09:15] Tant que le monstre engendrera des vers charmants, on lui pardonnera beaucoup. |