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LES COMMENTAIRES RECUS:
Marcek [13/05/22 14:41] Cher ancien membre, merci pour ton passage ! Cher Besac , une jeunette de 83 ans cette année … |
Besac [23/01/22 21:36] Quelle jeunesse et quelle verve ! Très rafraichissant. J'ai aimé +V |
Ancienmembre [05/08/21 12:29] Très sympa, merci pour cet agréable et léger ! moment de lecture Bravo et au plaisir |
Marcek [08/06/21 23:56] Cher Philippe, merci pour ces compliments ! Entre deux plantations suivies de terreautage et d’arrosage qui sont les mamelles du jardinage, j’arrive à honorer le thème du mois parfois bien tardivement ! Deux plantations ? Je suis modeste ! Cette année, 37 pieds de tomates , des haricots et des cucurbitacees à la toque ! J’en perds le boire et le manger ! Mais je pense à vous tous, assidus et productifs en poesie, autant que j’espère l’être en tomates ! Bizzz |
Philippeb [08/06/21 23:45] Michèle se fait rare, mais toujours aussi charmante et talentueuse :-) |
Marcek [08/06/21 23:42] Jim merci merci ! Tu as la voix qu’il faut, le rythme qu’il faut et l’on devine cette nostalgie de jeune garçon ! Parfait ! |
Marcek [08/06/21 23:41] Oui Léo ! Les potagers écoutent la chanson du vent qui retrousse les jupes des choux ! Tout est sensualité dans la nature ! Bizz |
CinquiemeVallee [06/06/21 23:58] Bravo au coup de vent qui inspire ! Les défis du potager peuvent intéresser le pote plus jeune... |
Marcek [06/06/21 23:02] Tigron, ce jeune adolescent a bien voulu me prêter sa plume sensuelle : je l’ai saisie aussitôt ! Merci de ta lecture ! |
Marcek [06/06/21 23:02] Tigron, ce jeune adolescent a bien voulu me prêter sa plume sensuelle : je l’ai saisie aussitôt ! Merci de ta lecture ! |
Marcek [06/06/21 23:02] Tigron, ce jeune adolescent a bien voulu me prêter sa plume sensuelle : je l’ai saisie aussitôt ! Merci de ta lecture ! |
Marcek [06/06/21 23:01] Chère Mâcha , merci ! La période printemps-été est intense pour moi, le jardin m’appelle d’autant plus que cette année j’ai été assez aventureuse 35 pieds de tomates, 15 cucurbitacees, des poivrons , aubergines à la toque ! Sans compter les haricots verts et les blettes ! Du coup j’ai loupé le thème de mai et l’ai posté en juin ! Mais je pense fort à vous tous ! Gros bisous |
Tigrou [06/06/21 22:01] J'aime beaucoup la poésie féminine ;) |
Machajol [06/06/21 20:09] Marcek, tu devrais revenir plus souvent : ta poésie est toujours empreinte d'un charme certain ! ici le vent fripon et autres "coquineries" qui n'auraient point déplu à Brassens ! merci ! |
Marcek [05/06/21 23:26] Angie ta plastique s’adapte parfaitement à la beauté de tes robes légères et comme je sais que tu es amoureuse du vent, tout cela fait une jolie symbiose ... |
Marcek [05/06/21 23:24] Jim , je te rejoins tout à fait ! |
Marcek [05/06/21 23:23] Merci Loren pour ton appréciation ! La bonne entente amoureuse exige de connaître les fantasmes du partenaire ! Et ceux des garçons sont évidents ! |
Marcek [05/06/21 23:22] Frégat, faute avouée est à moitié pardonnée. Tout ce qui est caché intrigue, et même les robes 1900 intriguaient l’œil des messieurs ! Voir apparaître une cheville faisait monter leur tension ! Lolol |
Marcek [05/06/21 23:20] Jim sans parler du métro, tous les vents soulevant les jupes des filles sont bons aux garçons et Souchon l’a si bien chanté. ! |
Angieriquedm8 [05/06/21 21:56] J'adore ce petit poème Marcek, emprunt d'humour et de coquinerie. Mais je pense que ce rêve de jeune garçon perdure jusqu'à la fin de leur vie... Non ? Après tout, moi aussi, je fais comme eux, il m'amuse de rire des jupons qui s'envolent sous le vent. C'est drôle en plus d'être élégant. |
Jim [05/06/21 21:50] Mais qui, Loren, joue avec les fantasmes masculins ?... |
Loren [05/06/21 21:10] Belle légèreté, Marcek! Poème coquin qui flirte avec les fantasmes masculins. Bravo!+V |
Fregat [05/06/21 19:36] A l'instar de ce jeune garçon, mes yeux l'avouent: ils ont souvent vagabonder sur les courbes d'une femme sous une robe jouant avec le vent et maudi la mode over-size qui les empêchaient de les deviner... Beau poème aussi léger que son titre. Très |
Jim [05/06/21 18:22] Il est des jeunes garçons qui rêvent longtemps, avant, pendant et après; ah! Marilyn! Quel vent léger, quel vent fripon, auquel Brassens s'était converti, fut raison vraie de l'invention du métropolitain ! |