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LES COMMENTAIRES RECUS:


Kerdrel [28/08/21 08:54]
Merci Macha de votre lecture


Kerdrel [28/08/21 08:54]
merci Colette de votre commentaire chaleureux,


Machajol [28/08/21 00:46]
Bien "triste" cette solitude à deux !
merci pour cette écriture "limpide" sur ce sujet : "déchirure".


Ombrefeuille [27/08/21 17:06]
Un poème vraiment poignant dans sa sobriété-même, et qui dépeint à la perfection ce couple usé non pas par le temps, mais par la terneur de la lassitude.

Il faut beaucoup d'abnégation pour aimer avec constance et beaucoup de foi en l'avenir pour ne pas sombrer lors des crises inévitables au fil d'une vie qui s'allonge sans cesse.

Bref : Il faut des vertus que notre époque de zapping ne promeut pas ... Et il faut des plumes de génie (la vôtre est du nombre) pour dire où tout ça nous mène.


Kerdrel [25/08/21 09:16]
merci beaucoup Pia de ta lecture, je n'ai pas connaissance d'une toile concernant ce sujet, ni même s'il fut traité un jour en peinture...


Ancienmembre [25/08/21 09:14]
Quand il ne reste plus qu'une adresse commune... Beau texte sur un "silence assourdissant" dans un couple. Le sujet ne me semble pas faire l'objet d'une toile d'ailleurs, sauf erreur...+V



Kerdrel [24/08/21 22:22]
Merci Loren en terme de chaleur parfois il vaut mieux un bon poêle à bois :)


Kerdrel [24/08/21 22:20]
merci Pauline, de votre lecture, il y a plusieurs existences dans une vie, puisque notre espérance a beaucoup grandi et l'on est moins enclin de nos jours a faire concessions :(


Loren [24/08/21 14:03]
Beau poème, Kerdrel. J'aime cette antinomie entre le titre et la réalité du poème. Les images sont bien choisies. J'aime particulièrement la dernière image. Vous contez les ravages du temps avec une grande lucidité. +V


Cardaline [24/08/21 11:04]
Il est peu d'exemples où des couples se sont aimés tout au long de leur vie. Il faudrait une grande vigilance et beaucoup de foi l'un dans l'autre pour y parvenir. L'exemple que tu donnes est une magnifique illustration de notre impuissance à prolonger ce puissant élan d'amour des débuts. "Il n'est que l'oreiller contre qui se blottir" résume admirablement cet échec.