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LES COMMENTAIRES RECUS:


Jim [14/07/21 15:30]
Ne pas lire ce poème de Nouveau avec notre œil d'aujourd'hui, conditionnés que nous sommes par "ce qu'il est bon de penser et dire quand on est résolument moderne et ouvert et contre, etc." Ne pas oublier l'"Orientalisme" en lequel les artistes et intellos de l'époque baignaient, lequel n'était pas forcément critique...


Oxalys [22/09/18 10:31]
Je ne comprends pas ce que cette remarque désobligeante vient faire ici, Charazed.
pour rappel : ce poème à été écrit il y a près d'un siècle et demi, dans un contexte historique tout à fait différent de maintenant.
Je ne pense pas que l'auteur ait voulu "bafouer" le respect, mais qu'il a exprimé, par le biais de la poésie, un sentiment d'ambiguïté vis-à-vis d'une coutume étrange pour la société de l'époque.




Charazed [21/09/18 18:44]
Depuis quand l'art bafoue le respect?
C'est désolant de découvrir ceci dans la poésie.
Au fait, je ne trouve pas de mots.


Oxalys [03/03/15 10:13]
Je ne le connaissais que de nom c'est tout mais je ne me souviens pas avoir lu un seul de ses poèmes.
En fait, c'est en parcourant la liste des poèmes anciens que le titre m'a aussitôt accrochée.

Merci Ninon pour ton écoute fidèle
Amicalement


Ancienmembre [02/03/15 22:08]
Super ce poeme. Finalement, rien de nouveau sous le voile. Germain Nouveau, poète très peu conne (par moi), cerne avec force curiosité, et donne à l'interrogation une évidence sans voile.

J'ai aimé et l'interprétation et la musique en accord complet avec le thème

Merci pour ce bon moment Oxalys

Douce nuit;)


Oxalys [27/02/15 13:57]
Bonjour Arcane
Il y a une mine de trésors dans la bibliothèque du site, catégorie poètes anciens. Des sujets qui prêtent à réfléchir, hors des sentiers battus. Une revue des temps passés qui n'a rien à envier à nos canards actuels..

Preuve une fois de plus qu'on n'a rien inventé... ou alors, si peu de choses..


Arcane [27/02/15 12:23]

c'est bien la preuve que 'réfléchir' sur un sujet qui interroge peut se conjuguer à tous les temps ! mise en valeur du texte incontestable et tellement actuelle ! merci amical :)


Oxalys [23/02/15 14:58]
ahahahha j'adore ce commentaire un tantinet cynique, merci Candle..


Blague à part :

Si vous saviez, vous les anciens de ce site, ce que vos archives renferment de trésors inexplorés qui ne demandent qu'à refaire surface...



Candlemas [22/02/15 15:46]
Belle initiative que d'exhumer de vieux poèmes sans rides... c'est beaucoup mieux que de se voiler la face (oups... jeu de mot involontaire...) pour mieux garder les squelettes dans le placard... ahahaha


Oxalys [22/02/15 15:40]
Non, non Mone, il n'est pas de moi.. Je me suis juré de ne jamais aborder ce thème en poésie. J'ai seulement été étonnée de trouver ce texte du XIXème siècle qui n'a pas pris une ride malgré son long séjour dans les archives. Je voulais seulement le faire découvrir à ceux, qui, comme moi, ne le connaissaient pas encore.

Bon dimanche
Amarys-Oxalante rire


Pieds-enVERS [22/02/15 00:34]
Je croyais que c'étais toi qui l'avais écrit ! Qui qu'il en soit ....superbe ! et dire que la chanson femme grillagée de p Perret avait été interdit .... La chanson de SARDOU musulmane est magnifique
https://www.youtube.com/watch?v=fN-J_eK2KTQ

Douce soirée ( j'allais mettre Amarante ! rire )


Oxalys [21/02/15 17:54]
A Candle..
J'ai fait qq recherches depuis sur l'origine de ce sonnet (merci le web)
Il est extrait du recueil "Sonnets du Liban" paru en 1883..

On n'a donc pas attendu le XXI ème siècle pour évoquer ce sujet en littérature.

Germain Nouveau était ami de Verlaine et Rimbaud, donc "hors norme" pour l'époque.
Ceci explique peut-être cela..
Amicalement






Oxalys [21/02/15 17:43]
Une réponse à Tonin :
Pour naviguer sans vague il faut soit se taire soit se terrer - ou mais en terre comment naviguer ?
Tu me diras : d'accord, mais se taire évite bien des maux, car tout mot dit peut être maudit.
D'où ma question : comment prétendre faire de la poésie s'il faut taire ses mots ?

Sans me prendre trop la tête, je crois bien que Victor se posait déjà la question quand il séjournait à Jersey...

Bien à toi




Candlemas [21/02/15 11:10]
Intéressant oui d'aborder avec pudeur, et respect ce sujet... comme le fait à ce que j'entends G. Nouveau... alors que le port ou non du Niqab, contre les lois républicaines, fait aujourd'hui débat en France...


Tonindulot [21/02/15 08:13]
Un jeu de mot satirique demande: faut-il mettre le voile ou la voile pour naviguer sans vague?

Tonin


Oxalys [20/02/15 18:31]
Pardon Musterhode, je ne comprends pas votre commentaire.
Il n'y a aucun problème de ma part, si ce n'est celui de ne pas avoir choisi une oeuvre qui vous convienne.
Quant à la tristesse du poème, c'est à Germain Nouveau (1851-1920) qu'il faut faire le reproche, moi je n'y suis pour rien.
Amitiés itou


Oxalys [20/02/15 18:23]
Merci Guy d'apprécier la facture du poème.
Je l'ai découvert en parcourant les archives du site. Il y dormait paisiblement depuis mai 2010. J'ai trouvé intéressant de l'associer à la musique de Khatchatourian, musicien arménien, connu pour sa célèbre Danse du Sabre.
Amicalement


Muserhode [20/02/15 14:38]
Je ne vois pas exactement où est le problème? Les femmes Saoudiennes sont chez elles, et si toutes les musulmanes ont envie de mettre une couette sur le corps dans ce bas monde.... Pourquoi en faire tout une poésie triste et sur un fond musical aussi grinçant? Oxalys, j'aurais mieux apprécier votre voix sur un poème d'amour! Amitiés.


Guy [20/02/15 12:39]
Oui un poème intéressant à plus d'un titre.
Et une lecture agréable à écouter avec cette musique appropriée.
Amicalement


Oxalys [20/02/15 10:44]
La musique est de Aram Khatchatourian (1903-1978) Danses des jeunes filles




Je viens de découvrir ce poème dans la galerie.
Il m'a aussitôt rappelé une remarque amusée de mon mari, rentrant de voyage d'affaires en Arabie Saoudite.
Toutes les femmes sont voilées de noir de la tête aux pieds, ce qui ne les empêche pas d'acheter dans les boutiques de luxe aux enseignes occidentales des quantités impressionnantes de dessous féminins multicolores et affriolants.