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LES COMMENTAIRES RECUS:


Colline [29/05/22 14:13]
"Ton silence m'apprit les vals de la musique
Laquelle ondoie comme une mer au souffle lent
Entre tes mains le violon est cerf-volant
La danse de tes doigts m'est un nouveau lexique"

La fluidité de vos mots m'enivrent et me touchent infiniment


Jim [27/05/22 11:32]
L'onde, l'eau, le fluide, autant d'allégories du féminin. Vénus surgie de l'écume, ou La Source, chaque fois, Ombrefeuille, Kerdrel, le même tableau décliné.


Ombrefeuille [18/05/22 18:21]
Ta plume, qu'on ne présente plus tant sa verve est gasconne, sait prendre des accents poignants d'autant plus saisissants qu'ils sont pleins de retenue.

On entend, au fil de la lecture, la voix d'un pauvre hère, d'un proscrit, peut-être d'un supplicié (c'est la place de Grève qui m'inspire cette image, en ce qu'elle était le lieu des bûchers), s'adressant à l'idéale depuis l'au-delà du désespoir.

La tristesse a des beautés que seul le poète sait magnifier. Ce poète, c'est toi, alors bravo !


Kerdrel [17/05/22 14:35]
C'est pas tout ça, mais à qu'elle heure ?
poème onirique que j'aurais aimé illustrer par "Ondine" de John William Waterhouse (1872) mais je suis toujours interdit d'illustration