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LES COMMENTAIRES RECUS:


Oxalys [27/06/22 11:41]
Colette, il faudra attendre un an, si je ne me trompe.
A moins que quelques férus de poésie musicale (classique ou bancale) invitent toute la maisonnée à chanter et danser sur des textes entraînants en attendant le prochain été.
Chiche ?


Oxalys [27/06/22 11:36]
Merci Myotte d'apprécier la prouesse de danser sur le toit sans éprouver pour autant le vertige des hauteurs !
Amicalement


Oxalys [25/06/22 22:02]
Lastours,
l'idée est excellente. La dernière rencontre entre poètes du site remontant à 2018, il serait grand temps d'en prévoir une nouvelle, où nous pourrions tous chanter, réciter, déclamer etc... les chefs d'oeuvre des un(e)s et des autres... Qui se charge de l'organiser ?


Oxalys [25/06/22 21:56]
Alain,
plus musicophage que cinéphile, je te crois sur parole !
Dans le morceau que j'indique -on en trouve plusieurs sur YT- le chaos est d'autant mieux réussi que la formation est menée à la baguette par une maestra avec une maestria de maestro. Un fait rarissime qui mérite toute notre estime !


Ombrefeuille [24/06/22 17:25]
Cette année, ce n'est pas la flotte qui m'a privée de Fête de la Musique, mais la canicule (Valence était un chaudron en ébullition, mais version grillé à sec). Dommage !... Avec des amis, on se prévoyait un petit programme arménien (le Centre du Patrimoine Arménien est très vivant et très accueillant) avec spécialités à déguster ... Snifff ! Espérons que l'année prochaine sera plus favorable ...

Bravo pour cette évocation très enlevée de cette Fête qui nous touche tous ainsi que d'une oeuvre (que j'avoue ne jamais avoir écoutée ... mais l'avenir est -encore- devant), le tout sur un rythme qui donne envie de danser. Ceci dit, je resterai quant à moi au ras du goudron des bus et ne grimperai pas sur le toit (j'ai le vertige, ma bonn'dam' !)

Bravo ! Et vivement la prochaine Teuf à la Zique !


Myotte [24/06/22 08:44]
Merci d'avoir pensé à la fête de la musique et pour ce beau poème plein d'énergie!


Lastours [24/06/22 08:28]
Et si toi tu nous chantais quelque chose? On pourrait aussi, nous les poètes du site, se joindre à toi et je suis sûr qu'on pourrait en faire une petite symphonie divertissante malgré le contexte actuel.


CinquiemeVallee [23/06/22 14:13]
Ce poème me fait penser au film "En corps" , de Cedric Klapich, qui vient de sortir...Une formation classique peut exceller dans un "chaos déjanté " si le chorégraphe est aussi thérapeute...Rire.


Oxalys [23/06/22 08:47]
Il n'y avait pas foule dans les rues pour fêter la musique ! Ni sur le site d'ailleurs... Cela se comprend, on a d'autres chats à fouetter en ce moment..

Merci Claude d'avoir risqué un pas de danse sur ce rythme chaloupé.
Pour ma part j'aime bien cette musique à la frontière entre le classique et le déjanté contemporain. Là où les lignes de la portée commencent à se détendre avant de tomber dans le n'importe quoi : Satie, Stravinski, Falla, Milhaud, Prokofiev, Gershwin...
Amicalement


Wawa [21/06/22 17:36]
Merci Catherine pour ce texte bien senti et pour l'explication musicale instructive.
Je ne connais pas cette oeuvre mais de manière générale, j'ai beaucoup de mal aussi avec cette musique dite "contemporaine" et ses dissonances !


Oxalys [21/06/22 08:01]
De 1916 à 1918, Darius Milhaud a séjourné au Brésil. Il y a découvert la musique folklorique brésilienne, entre autre la samba et un refrain célèbre appelé « O boi no tehado » (le boeuf sur le toit).
De retour à paris, il a composé en 1919 l’œuvre en question. La musique a été choisie par Jean Cocteau en 1921 pour accompagner un ballet pantomime à la Comédie des Champs-Elysées. Cocteau drainait déjà toute l’avant-garde des arts et des lettres dans les cafés et restaurants parisiens. C’est ainsi que l’un d’eux, pris le nom de cette œuvre devenue célébre grâce à lui. Depuis 1941 le restaurant «Le Bœuf sur le Toit » au 34 rue du Colisée est un lieu mythique de rencontres d’artistes.