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Ombrefeuille [30/06/22 18:36] Mille mercis à vous, Loren, pour votre comm amical et tout en finesse. Gageons que cet amour entre mes deux "héros" durera bien plus qu'un été :)

Loren [29/06/22 13:09] J'aime beaucoup ce poème, Ombrefeuille de par la beauté délicate des images.+V

Ombrefeuille [28/06/22 17:39] Merci à vous également, Myotte, Oxalys, Jim, Miouz, pour vos avis amicaux, entre délicatesse et humour. Et puisqu'il est amusant de réintituler la RATP, je suis fan de ces deux traductions (qui ne sont pas de moi) : Rentre Avec Tes Pieds et Reste Assis T'es Payé ... diversement appréciées selon qu'on est gréviste chronique ou usager sans plan B viable. Pour le concours, car de poésie il est ici question, je dois dire que le jury n'était pas constitué de "cheminots" (z'ont aut'chôz à faire) mais de gens-de-mots, sous la présidence de Vincent Delerm. Sûr que j'pouvions point avoir le style ... LOL !

Miouz [28/06/22 07:43] Un poème plein de ... poésie que l'on a plaisir à lire et relire pour s'imprégner de l'ambiance.

Jim [27/06/22 21:47] J'ai bien sûr songé à Brassens (ses bancs publics), mais aussi Antoine Pol avec ses "Passantes" chantées par le susdit Tonton, et à Prévert avec ses feuilles mortes. L'ennéa est un peu casse pompons à pratiquer, faussement simple. Bon, l'avis de la Rectitude Autorisée du Tarage Public m'indiffère au plus haut point, ils sont pouèts pouèts comme moi cheminot... D'ailleurs, quel chemin aujourd'hui trace un bureaucrate? M'enfin, on ne laisse passer une belle inconnue, quel manque d'éducation!

Oxalys [27/06/22 11:28] Aaahhh, ces bancs, témoins muets de tant d'épanchements, inspirent bien souvent de belles histoires ! Et tant pis pour la RATP habituée à tout rater, même ce qui vaut le coup !

Myotte [26/06/22 21:17] Très joli poème, merci ! Moi aussi, j'admire beaucoup les derniers vers

Ombrefeuille [26/06/22 18:07] Merci à vous pour vos lectures tour à tour attentives et rêveuses de mon modeste poème et pour vos réflexions témoignant que, même d'une façon mystérieuse, il vous a touchés. Je l'ai écrit en avril 2021 en vue de participer au concours annuel de poésie de la RATP. L'enjeu me tentait : Les poèmes lauréats gagnaient de se voir affichés dans les couloirs du métro ... Waow ! Verdict ... (Roulement de tambour ...) Recalé ! Et zou ! Au panier ! Mince alors ! Un coup pour rien ! Bon ... Ce qui me console est qu'on était au moins dix-mille à ferrailler de la plume, alors moi, avec mes ennéapattes et mes rimes artistement disposées, j'étais mal barrée pour faire le poids ! Le titre m'est venu tout seul, l'air de rien, et a conditionné le choix de la métrique, puis j'ai essayé de jouer sur l'esprit parisien bohème à la Brassens avec ses amoureux qui s'bécott' sur les bancs publics. Bon-ben avis à la cantonade : ça ne marche plus, ce filon-là, du moins quand la RATP se mêle de poésie et non pas de grèves et autres blocages (Oups !... LOL !)

Pierrelamy [26/06/22 09:17] La disposition des rimes et la découpe en strophes donnent beaucoup de sel à ces nonasyllabes

Kerdrel [25/06/22 22:21] Merci à Claudel d'avoir mis le doigt dessus la disposition 4/3/5 des vers m'avait masqué ces quatrains en ABCD. poème légèrement énigmatique qui laisse rêveur :) +V

Lili [25/06/22 19:40] mais pourquoi diable un connu et pas l'autre..ouais bof moyen mais ne regrettons pas. Au plaisir

Claudel [25/06/22 17:41] Forme originale avec rimes espacées. Bel exercice... bravo. +V

Cardaline [25/06/22 14:16] C'est tellement beau que c'en est irréel et il me prend l'envie de déménager dans votre contrée, mais je sais bien que c'est votre regard - et surtout votre plume - qui embellit tout. + V

CinquiemeVallee [25/06/22 13:47] De bon matin je suis repassé écouter voir cette voix ... En effet, ici bien rendue!

Louis [25/06/22 09:29] superbe forme, beaux vers 'Celle qui, sur la plage immobile, Demeure quand va se retirer Le lointain de la vague accourue …'