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LES COMMENTAIRES RECUS:


Oxalys [27/01/23 09:10]
Miouz, un commentaire judicieux qui dit bien le drame de "l'Intégration ratée". Fléau de la société moderne où tout est régulé par des gouvernements imbus de pouvoir mais complètement étrangers à la condition humaine.
Grand merci sincère pour ce lever de voile sur une expérience similaire à la mienne.


Oxalys [25/01/23 16:34]
Michel,
j'aimerais avoir ton optimisme concernant la condition féminine dans le monde !
Certes, des concessions gagnées "à l'arraché" par ici... mais par là-bas c'est le "sur-place", pour ne pas dire, hélas, la "régression".
Amicalement


Miouz [25/01/23 15:28]
Les enfants, quels qu'ils soient et d'où qu'ils viennent sont capables de fraterniser, de s'aimer.
Quand l'évidence de différences imposées par les adultes se mettent en travers de leur chemin, ils ne comprennent plus rien.
J'ai eu ma Nadera. Elle s'appelait Fadila et nous habitions le même pays jusqu'au jour où...


Lastours [25/01/23 08:31]
Une histoire comme il doit en exister des milliers mais contée par une superbe écriture. Je pense quand même que, malgré tout, de grands progrès ont été faits dans ce domaine et que ce n'est pas fini.
Amitiés.


Oxalys [24/01/23 14:18]
Wawa,
je pense que ceux de notre génération ont tous vécu semblable "bouleversement" dans leur petit monde scolaire. La venue d'enfants comme nous, mais pas tout à fait quand même, des prénoms inhabituels, une histoire différente...
La mixité n'existant pas encore, il dut y avoir moins de "choc des cultures" chez les garçons que chez les filles. Enfin, je suppose....


Oxalys [24/01/23 14:08]
Une bienveillance, un regard ému par l'insouciance avant que la triste réalité balaie l'innocence de l'enfance.
Merci Saintes


Oxalys [24/01/23 14:04]
Jim
C'est la recrudescence des drames vécus par les femmes de là-bas qui m'a fait repenser à cette petite fille de jadis. C'était dans les années 60. Rien n'a changé depuis. Les fils, à peine sevrés n'ayant aucun scrupule à martyriser les mères.


Oxalys [24/01/23 13:52]
Tonin,
ce n'est que plus tard qu'on se rend compte de ce qui se passait dans le monde (et la tête) des grands, quand on ne l'a pas vécu soi-même.
Je te comprends mieux depuis que je sais...


Oxalys [24/01/23 13:48]
Alain,
euh... quel capillotractage ?
Non, rien n'est tiré par les cheveux, ici. Au contraire c'est volontairement écrit dans un style enfantin, à l'image des fillettes d'alors.
Elles devaient avoir entre 7 et 10 ans, autant que je me souvienne..



Wawa [24/01/23 09:33]
Beaucoup de choses dans ce poème très touchant, de grandes questions dans un souvenir d'enfance...
C'est doucement raconté, c'est très beau !


Saintes [24/01/23 08:58]
La triste réalité avec une chaleureuse bienveillance évoquée.


Jim [24/01/23 07:37]
Forme poétique bien adaptée au sujet. Des vers emplis de douceur sur un souvenir tragique. Il y a bien du boulot à faire, tant là-bas qu'ici, qu'hier, aujourd'hui et demain, la superstition, doublée d'hypocrisie, triplée de bêtise, prenant bien des masques.


Tonindulot [23/01/23 20:14]
Tragique souvenir pur une histoire vécue jadis...

On ne revient pas de l'obscurantisme...




CinquiemeVallee [23/01/23 18:17]
Nostalgie et plus encore
En ces vers album ouvert

J'ai bien aimé , le capillotractage est donc un art discret.