Vous devez ĂȘtre INSCRIT et CONNECTE pour laisser un commentaire

LES COMMENTAIRES RECUS:


Ancienmembre [29/03/11 09:19]
Je ne jugerai pas la forme;
c'est le fond qui est beau: voilà l'essentiel. Merci, Arpana. Septuor


Ancienmembre [18/03/11 18:51]
Sombre comme poème, j'aime bien


Boetiane [05/01/11 23:39]
Bienvenue à toi, Arpana
J'attendais -un peu

Et peu importe le 2ème vers,
Sache que j'aime tes mots
Sache qu'une description plate et concrète m'aurait figée dans l'ennui
Alors évidemment, me m'arrête non sans plaisir
Paysage lunaire
où l'ésotérique flâne et flirte
où la statue de marbre bouge ses lèvres bleues - un peu
entre le plâtre des oeuvres d'art et l'émotion

-encore,
bo



Arpana [17/12/10 21:12]
Redouane- quel rapport avec ce poème -
sourire- tu me trouves trop mystique ?


Arpana [17/12/10 21:07]
Rire- Merci Balila-
Voilà 1 raisonnement sain à entendre -
du moins c'est ce que j'attendais de l'analyse de ce ..poème donc-
arch!! toujours les mêmes problèmes je ne suis pas matheuse ne sais pas compter et ne respecte pas le AA- BB etc ..
Merci- Miss ? Balila-

Non euh Gerbe je ne cherche pas le talent juste à m'améliorer - ici c'est parfait merci pour le nom du forum - j'irai voir-






Ancienmembre [17/12/10 13:18]
Je vais répondre à la place de Remo : le deuxième vers compte onze syllabes et non 12.

Ce sonnet est loin d'en être un pour les nombreuses fautes commises, à savoir que la césure à l'hémistiche est rarement respectée, qu'il y a des vers à 13 syllabes (10ème et 11ème vers), et je passe sur les rimes féminines/masculines...

Et je n'ai rien compris....


Ancienmembre [17/12/10 12:05]
La technique poétique est pour moi difficile,mais ce que je peux vous suggérer(pour moi,vous avez du talent)c'est d'envoyer votre poème sur le site ONIRIS,là,c'est pertinent.



Ancienmembre [16/12/10 17:40]
Voir Alain "Propos sur le bonheur...


Ancienmembre [13/12/10 18:32]
Moi j'aime bien quand on me cite des trucs ronflants ... N'en déplaise à Boileau, le sonnet est une forme fixe, c'est comme un vélo, dés qu'on y ajoute une roue ça devient un tricycle, c'est comme une femme, un chromosome de plus et hop ! ça devient (miracle ?) un homme.
Comme vous ne semblez pas encline, finalement, à la critique, débrouillez-vous avec vos vers boiteux, vous êtes capable de me dégoter un quota d'handicapés même en poésie classique .
en plus y a un hiatus, saurez-vous le retrouver ?


Arpana [13/12/10 17:00]
A l'aimable attention du Sieur Remo :

Nicolas Boileau ; Art poétique (Au chant II).
On dit, à ce propos, qu'un jour ce dieu bizarre,
Voulant pousser à bout tous les rimeurs françois,
Inventa du Sonnet les rigoureuses lois ;

Voulut qu'en deux quatrains, de mesure pareille,
La rime, avec deux sons, frappât huit fois l'oreille ;
Et qu'ensuite six vers, artistement rangés,
Fussent en deux tercets par le sens partagés.

Sur/tout/, de/ ce/ Po/ème/ il/ ba/nnit/ la/ li/cence ;
Lui/-même/ en mesura _ le /nombre/ et/ la cadence ;
Défendit qu'un vers faible y pût jamais entrer,

Ni qu'un mot déjà mis osât s'y remontrer.
Du reste, il l'enrichit d'une beauté suprême
Un sonnet sans défaut vaut seul un long Poème.

Je ne suis pas 1 personne raisonnable-
Merci à nouveau de préciser l'alexandrin boiteux que je puisse y apporter la correction nécessaire-
Votre réponse m'obligerait..



Ancienmembre [12/12/10 22:50]
Ben non en fait, je suis occupé à rien, mais un alexandrin boiteux ça veut dire ce que ça veut dire ... et c'est pas moi qui ai affirmé :
"Sonnet-
J'apprécie les fans de sonnet
Toute suggestion et évaluation me ferait progresser-
merci pour vos commentaires-"

et puis faire des poubelles vides c'est pas très gratifiant, soyez un peu raisonnable.


Arpana [12/12/10 20:04]
Sieur Remo, merci pour cet arrêt sur image drastique de ce sonnet..

Le parfum hermétique de cette prose vous a rendu poli ?
J'ai été faire 1 tour sur votre blog ..

Des propos gouailleurs et tapageurs ma foi..

Précisez l'alexandrin boiteux ?
Enfin si vous n'êtes pas occupé à gratter votre blocus de blog..




Ancienmembre [12/12/10 17:57]
Aïe ! faire un sonnet en "numérisant" le "un" ... c'est déjà un mauvais point.
Pour le fond, c'est obscur, voire abscons. L'utilisation des temps est au petit bonheur la chance, celle de termes ampoulés et d'associations malheureuse ne donne aucune consistance au sujet.

Sur la forme, dés le deuxième vers ça part en quenouille avec un alexandrin boiteux.

Seul bon point à mon avis, l'assonance novembre/sombre.