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LES COMMENTAIRES RECUS:
Lasource [27/11/09 20:01] Ah, les vers blancs ! Au Sahara, on les mange grillés sur le "calhoun" en terre cuite, avec un peu d'épices : délicieux ! Mais j'ignorais que le papier les respirait... On ne peux tout savoir ! |
Lasource [27/11/09 20:01] La version révisée est bien meilleure ! |
Janaile [27/11/09 14:36] Voilà, c'est mieux comme ça je crois (;-)) Entrevu ce matin l'alexandrin si triste Pestant contre Laforgue en le traitant de traître Accablé bien vieilli boitillant sur la piste Il m'apparut flétri trop fané pour renaître Au pauvre poussiéreux accablé, larme à l'œil J'aurais voulu donner un siège confortable Pour qu'il pleure furtif auprès du chèvrefeuille Au parfum persistant léger comme le sable Je n'approuverai pas s'il renifle persifle Vient encore alourdir notre siècle pesant Et mélange nos vers aux caprices des chiffres Je ne veux pas compter si j'écris sur l'écran Que notre inspiration s'aère en liberté Phrasés brefs et concis pour que nul ne transpire Oublie le dictionnaire ait loisir de goûter Aux vers blancs et légers que le papier respire |
Janaile [27/11/09 09:08] il y a des défauts dans les deux dernieres strophes si vous avez des conseils je ne dis pas non... ;-) |