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Clementine [02/05/10 19:28] Merci de tes mots Lucie.

Lucie [02/05/10 13:33] tant et tant bleus au cœur...

Clementine [30/04/10 13:08] Tu as raison Ninon, j'ai toujours peur du regard de l'autre c'est un de mes grands défauts.

Ancienmembre [30/04/10 10:15] Tu as bien raison de ne pas vouloir en dévoiler plus. Mais pas pour le manque de pudeur que l'on pourrait te reprocher (on s'en fout). Car il n'y a rien d'impudique dans ce que tu dis, ni dans tes écrits... C'est pour toi seulement ! Bonne journée

Clementine [29/04/10 15:07] Merci beaucoup Rickways.

Rickways [29/04/10 14:04] Poème corrigé

Clementine [29/04/10 12:28] J'admire ta sagacité Ninon, ton analyse est fine et judicieuse. Il y a effectivement cet effet miroir, je subis des périodes de dépersonnalisation profonde, l'impression de ne pas vivre dans mon corps, mais je ne vais pas te dévoiler tout sur ce site, on pourrait me le reprocher comme un manque de pudeur. Le bleu c'est aussi le nom donné aux hématomes, mais et tu as raison c'est aussi la couleur de la mort, de la tristesse aussi "le blues". Souvenirs qui sont persistants pour la personne qui les vit. Merci Ninon de t'être arrêtée sur mes mots.

Ancienmembre [29/04/10 12:08] C'est beau et particulièrement symbolique tout ça...Très symbolique même. Rien de vraiment bleus(dans le sens attrayant que l'on prête à cette couleur. Mais le bleu, par sa froideur peut aussi représenter la mort) dans ces souvenirs, que je vois plutôt comme de la rémanence, avec une pointe d'ironie. L'effet miroir est flagrant. Même insistant. L'acteur devient spectateur. Il ressasse, il critique la souffrance de l'autre (lui/elle), qui ne dit rien et qui voudrait peut-être oublier ? Qui c'est ? Peut-être ne voudrait-il plus porter cette croix qui le fige (crucifige, c'est pas mal, comme mot-valise) Je pourrais aller plus loin, et décortiquer ton poème, comme on analyse un rêve. L'oniromancie, c'est mon dada (rire)! Bise Bonne journée à toi

Clementine [29/04/10 10:36] Erratum. vers 4 "les parfums enflammés jaillissent et se figent " vers 5 "Te souviens tu enfant de blessure en vertige ?"