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LES COMMENTAIRES RECUS:


Oxalys [12/02/21 22:16]
Une erreur s'est glissée dans le titre de musique qui accompagne le poème.

Il s'agit du concerto pour Piano Op. 16 partie II Adagio de Edvard Grieg

Merci Banniange d'accueillir si chaleureusement ce montage sur ta magnifique sextine. Cela donne envie de tenter à nouveau le challenge. Je n'en ai écrites que deux en 2016 et 2017. Ce fut laborieux, mais réjouissant d'arriver à boucler le tour complet, y compris le tercet final ! J'y reviendrai un de ces jours, c'est sûr !


Merci Jim - Un prêté pour un rendu - Je découvre ou (redécouvre) tant de terrains à explorer en lisant tes textes !
C'est cela qui fait la richesse de notre site !


Jim [10/02/21 22:43]
Grand merci d'avoir remonté ce poème, remontée qui permet la découverte, outre de lui-même, de cette femme au caractère bien trempé de laquelle j'ignorais et la vie et l'œuvre. Grand merci donc à vous deux, Banniange & Oxalys.


Banniange [10/02/21 11:59]
Superbe et un vote!


Banniange [08/02/21 15:57]
Merci oxalis, bien sûr avec un immense plaisir!


Oxalys [08/02/21 12:00]
Je m'en veux tellement de ne pas l'avoir commentée en son temps, Banniange..
Je l'avais lue, elle m'avait fait grande impression, d'abord pour le style -la sextine est à ma connaissance l'un des genres les plus difficiles à écrire tant les règles sont contraignantes, surtout, à mon avis, le dernier tercet. Bravissimo donc pour cette prouesse

Ensuite le thème, bien sûr, si bien illustré par Käte Kollwitz. Une histoire à faire trembler de terreur, en regard du passé, et de colère impuissante quand on voit ce qui se passe toujours, loin de chez nous.

J'aimerais, si tu le permets, la mettre en musique, histoire de la faire remonter en première page pour qu'elle soit lue et relue, elle le mérite tant, cette magnifique sextine !


Banniange [07/04/17 18:00]
Merci pour vos beaux commentaires concernant kate kollwitz sachez que toutes ces horreurs elle les a vécues,j'écrirai une courte biographie prochainement.


Ancienmembre [07/04/17 14:25]
Ils jouaient dans les vents tels des épis vivants
Quand ils étaient bercés par les chants de la mère
Qui s'envolaient là haut comme des nuées d'or.



Ancienmembre [07/04/17 14:22]
ce poème est terrible
et le tableau aussi


Marcek [07/04/17 14:18]
Cette illustration porte toute l'angoisse du monde !


Machajol [07/04/17 13:34]
Texte bien écrit sur ce sujet brûlant : la mort des enfants innocents ...
Merci Banniange.


Marcek [07/04/17 10:50]
Comment ne pas songer à tous ces épis fauchés , ces innocents sacrifiés à la barbarie humaine tout près de nous ! Nos pas foulent des cimetières , les morts nous portent à bout de bras ...


Aurorefloreale [07/04/17 09:16]
si belle découverte en cette sextine profonde , les sillons sont creusés profonds!
Amitié
aurorefloreale