La résonnance du candide

A l’aplomb de mes limites morales, cherche-le « La » nominatif
Par la sensation de n’être imagé, mon portrait se fige de rêve
Ou chaque écart laisse un pli prononcé, à l’air très intensif
Et en définir les aléas en avantage sur les influas se relèvent

La vie court sur le temps de la réalisation, parsemée de raison
A la recherche du non visible, l’illusion se fait complexe et crue
L’horloge de cette course aux allures fatales, en une passion
Laisse aux aboies de la vérité, un simple tableau d’être déchu

Cultivé de savoir cumulé, aux années révoltées en tablier uni
Le souvenir d’hier sème sur le parcours de la décision accoudoir
Tant de persuasion laissant croire à la certitude de l’acte puni
Sans jamais divulguer aux mécréants de l’ignorance du savoir

Sachant que nul n’est l’équivalent de son opposé qui rivalise
Le défit de connaître rien du tout venant, laisses et tais le dire
Car le mieux du pire se terre, à l’insu d’une phase restée grise
Pour s’en aller bien bas ou en unVOL de poussière du désir

« Vivre du désir plongé en une eau trouble de doute, la conviction de la raison parafe de sa réalité les remous de la compréhension »




Ecrit par Brouilleur59
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