Métromane

Tous les matins au petit trot
Le métro il prend, l’homme-métronome
Mais trop bondé, gare aux symptômes
Qui bientôt de lui font un maestro !
Le poète navigue aux mots
Ses vers en sa bonté déverse comme un flot
Sévère l’auditoire apprécie peu ses lignes
Le raille mais succombe à son humeur maligne
Et pendant que les rames triment
Paname sourit de ses rimes




Ecrit par Rachmanifloyd
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