L’œillet rouge,

Son pouvoir lourd et gênant sur elle s'étend,
Elle ne l'aime plus et cela il le sait le sent.
Elle se promène seule dans sa vie et pourtant,
Son esprit beau et maléfique la suit tout le temps.

N'a-t-elle jamais eu pour lui un quelconque sentiment?
Que c'est triste de ne plus entendre son rire pédant,
Boire tous ses mots avec un regard attendrissant,
Qui l'éblouissait, et ne voyait rien sauf cet amant.

Le bruit des lettres jetées sur le sol, étale les tourments
Elle les a lues relues puis apprises par cœur ….. battant,
Adieu! Souvenons-nous avec peine de tous ces moments
Mais je t' ai aimé sois-en réconforté et content.

Une phrase véhémente a transpercé mon âme mettant
Fin à cette histoire sans espoir! Esprit vide, horripilant!
Ah tristesse tu ronges mes pensées en les abîmant,
Ma vie se noie dans des larmes pures, tu m'aimes, je t'attends,


Lorsque l’œillet s'éprend de la rose...

Ecrit par Muserhode
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