Le violon

La femme est un violon que l’on prend par la main
Et qui vient se nicher juste au creux de l’épaule
Pour jouer toute la gamme des sentiments humains
A qui l’archet vibrant arrache des plaintes aigües
Des cris qui vous déchirent des rires dont elle raffole
Qui sont des baumes pour le cœur ou bien de la cigüe
Quand elle se met à pleurnicher pour faire commun

Alain




Ecrit par Recreation
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