Naïade

Le chant de la naïade trouble le marin,
Il rêve parfois de plus doux destins,
Il rêve souvent de ce doux airain,
A la surface de l'eau
Se chant couvre le vacarme des flots,
Comme se chant paraît beau,
Je l'entoure d'une aura claire,
Qui plonge dans les eaux profondes
Se faufilent les aubades à la lune rousse
Tandis qu'aux chants on se pousse,
S'illuminent les flots de la terre
Et s'engloutissent les misères en sanglots ,

Se suivent les mouvements des Océans,
Se poursuivent les voyages du levant
Et les levers de l'aurore autant,
J'aime entendre chanter les muses du temps,
De ce temps, je reste encore fervente,
Et d'admirer cette mer galante, en cette attente,
Je forme en tendresse mes stances,
Et leur donne bonne consistance,
Le poète est harmonie en constance
Et c'est son chant qui reprend le refrain
D'une belle constance
Ce si fort airain
Qui comble la distance,
Le poète engendre sa propre essence
Et la répand toujours en abondance
Ce parfum, ces fragrances recouvre de tendresse , le destin.
Ne supporte , c'est certain
Aucun chagrin pour destin!
La naïade nous le rappelle en son aubade.
Et se continue le destin rude des marins...










Ecrit par Aurorefloreale
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