Blessure






Mes mains caressent la fourrure

De ce gilet que tu m’offris

En ces temps heureux, l’aventure

Et l’espoir nous avaient unis.

C’est toujours à toi que je pense

Tes mains, tes yeux, douce ferveur

Et j’en savoure la constance

En ce jour de fête des cœurs

Saint-Valentin sans ta présence

N’est pour moi qu’ intime douleur.

Qui me ronge avec insistance

Et pour toi déborde mon cœur !

Ton regard, foudre de l’amour

A précipité nos destins

Le tien,frappé de non-retour

Un jour a désuni nos mains.


C’est toujours à toi que je pense

Tes mains, tes yeux, douce ferveur

Et j’en savoure la constance

En ce jour de fête des cœurs.




Ecrit par Marcek
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