Faites du travail...




Destins ouvriers



Nous finirons perclus avec les doigts rongés,
Avant l’âge où s’éteint le grand feu passager.
Nous finirons rompus, quand nos corps étrangers
Au repos clameront, du grand vide allongé,

L’aspiration terrible à l’immobilité.




Ecrit par Salus
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