Par choc

Pour la joie, pour la prudence,
Pour l'amour, pour la paix d'esprit,
Pour éviter la décadence,
Les gens avaient beaucoup appris.
Toujours, la nature les éprouve
Et, des fois, elle grince des dents
Quand notre société se trouve
Dans cet état grave et ardent.
L'homme tout divisait en morceaux,
L'étalait sur des étagères.
De plus, l'homme bâtit son vaisseau
Pour chiper des choses étrangères.
L'homme, prenant la vie à crédit,
Ne sait plus aimer pour souffrir.
Pour garder son cocon maudit,
Lui ne préfère que le pire.
Et aujourd'hui, pris en compte,
La haine et l'esprit fanatique,
Les gens ne remarquent plus la honte
Dans leurs propres âmes apathiques.




Ecrit par Alex
Tous droits réservés ©
Lespoetes.net