Mon ami (ait, hait, et*) l’appétit de vivre.

Les saisons succèdent aux ans
Pas à pas face au temps
Il ne sait où passent les printemps
Et où sont les soleils levants ?

Parfois le ciel est gris méprisant
La vie en fuites d’instants
Péniblement face au temps
Toujours en soleils couchants.

Pénibles et longs moments
Sans voir de face le printemps
Des suites en instants
Sans aucun mouvement…

La vie s’étiole amèrement
« Le ciel bas et lourd » étouffant
L’esprit déchu s’agenouillant
Les saisons succèdent aux ans.

Sans voir le temps passant
Des minutes d’antan
Péniblement face au temps
Sans aucun mouvement…

Mon ami tu n’es pas seul
Je t’entends ton esprit feule.

Rejoins-nous passer un bon moment
Ecouter la mer sa mélodie ses chants
En cette saison sous un soleil éclatant
Se succèdent en foule de rares instants…

Lorsqu’au soleil levant, s’égrène doucement
Le temps, pas à pas l’horizon s’ouvre lentement
Infini il appelle droit devant ainsi qu’un firmament
Sachant où vogue le temps embellissant les couchants…

Mon ami rejoins-nous, vivre ces moments…


*Pour que mon ami ait<br />
Parce que mon ami hait<br />
Mon ami et<br />
Selon son état, son humeur, mais ma réponse est toujours la même…


Ecrit par Tourmentin
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