De l'amour à la haine...

Je ne voyais que par toi,
Toi et tes silences, que j'imaginais profond...
Toi et ta douleur, la même que moi..
De celle qui n'ont pas de fond...

Ta façon de me faire confiance,
Celle de me faire rire,
Cette impression, comme une évidence...
Qu'à toi, je peux tout dire.

Alors on traîne,
On se perd, On joue...
On cours à perdre haleine
Et les autres, "on s'en fou"...

Rien est impossible, puisque l'on est déjà mort, dedans.
La drogue, l'alcool, les vices
Et l'on s'oublie, pour un temps...
Finis les larmes et les supplices, d'enfant...

Et un jour, ta mère frappe à ma porte,
Pour me dire que tu es parti,
Sans un mot, "p''', mon frère, le diable t'emporte"
Tu étais, mon ami...


Coco....

Ecrit par Fran72
Tous droits réservés ©
Lespoetes.net