Jazz

Qu’est-ce cette douceur lointaine
Qui charme mon oreille interne ?
Mon âme sereine s’éveille
À entendre cette merveille.
Est-ce un oiseau du ciel ? Pardi,
Il chante un jazzy blues hardi.

Ce n’est pas possible ; eurêka !

C’est Jazz, mon occupant du haut
Qui s’est mis à jouer si tôt
De sa douce ruine-babine
Pour son aimante concubine.
Oui, c’est une douceur lointaine
Charmante à mon oreille interne…

Le chant de son harmonica.


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Tous droits réservés © Claude Lachapelle / février 2018


Ecrit par Claudel
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