Des kilomètres


Il reste toujours des murs à abattre,
Des portes fermées promptes à s’ouvrir,
Des idées démentes qu’il faut combattre
Et d’autres, sages, qu’il faut découvrir.

Il reste encor’ des larmes à verser,
Des passions qui demandent à revivre,
Des blessures prêtes à oublier
Pour page tourner et chemin poursuivre.

Il y a aussi ces fils à retendre
D’amitiés distendues demeurées fortes,
Ces vérités qui restent à comprendre,
Ces mystères troublants qui nous emportent.

Il y a de bonnes flammes à naitre,
D'autres que de mauvais autans ravivent,
Les doutes et espoirs, par kilomètres,
De poèmes rêvant qu’on les écrive.




Ecrit par Fregat
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