Le village endormi

Au loin, la-bas, mélancolique et doux, je vois
Dans le noir sombre et froid, émaillés de jaunes lampes
Le village s’endormir, sous les Dieux et leur hampe
Ecrasés de plaisirs, de fatigue et de joies


En ces chaumières blotties au creux de la colline
Des Amours pervers se cachent, ou pleurent en silence
Jusque la fin de l’aube, corps et âmes en présence
Et puis s’en va le rêve, laissant là l’orpheline




par Pierre Fernand Crasset Mauviel
dit Cépygé. X

Les Maissineries V 19

AVIS à TOUS LECTEURS DE CE SITE
Toutes ressemblances directes ou indirectes que toutes personnes
découvriraient avec des personnages,des faits, paroles ,gestes ou autres situations sont irréelles et ne reflètent pas la réalité et ne pourraient être que fortuites.
Chacun sait qu'un poète est un rêveur invétéré, que les situations,
les faits, paroles, gestes et personnages repris en ses écrits sont irréels et ne sont que des rêveries et de la pure fiction poétique,en fait des carabistouilles


Ecrit par Cepyge X
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