Sankt Valentin 14.II.20

A l’aube, à l’heure où la grive m’éveille
Par son chant mélodieux qui appelle à l’amour
Dont elle me fait l’aubade, le matin au réveil
Je pensais en ces temps vivre seul
Sans amie ni mamours
De mourir vieux, puceau
D’aller en blanc linceul
Comme un ange au berceau
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Je me sentais alors être un mal aimé
Un fidèle ami, un confiant confident
De jeunes filles aux charmes évidents
Que jamais je ne pensais aimer
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Aimer, qu’était-ce donc aimer
Si ce n’est ressentir une étrange attirance
Pour un être et de vaines espérances
Comme certes qui sait, ses graines essaimer
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J’étais las, solitaire, impassible et rêveur
Les yeux perdus au loin, dans les brumes du rêve
Un jour, pourtant, des pensées imprévues en mon cœur s’élèvent
J’avoue, je fus dès lors divinement amoureux
Vous connaîtrez, j’espère cet état langoureux
En cette St Valentin, je vous livre le mien baigné de grâces et de douce ferveur
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Ode <br />
Maritim Hôtel Koningswinter.de<br />
Les Maissineries 14.II.20<br />
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Ecrit par Cepyge X
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